bordel (depuis 1200) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

Citations

• 1985 jusqu'aux bordels de Macao source : 1985. Trois matelots
• 1938 Je ne me souviens pas très bien de ce que j'ai fait. J'ai joué au grand seigneur et j'ai été au bordel source : 1938. Moi, un nain
• 1982 En fait de monument, c'était le bordel chinois de l'Honorable Binh-Rung, surnommé L'« Honorable Biroute » par tous les marins de la flotte. source : 1982. Le lapin de lune
• 1975 Nous n'avions pas assez d'argent pour aller au bordel. source : 1975. Souvenirs obscurs d'un Juif polonais né en France
• 1975 Je regardai le soleil. Dans sa blancheur, je lus la possibilité concrète de ma disparition. Je ne voulais pas risquer de mourir sans être béni du contact d'une femme. J'allai au bordel. source : 1975. Souvenirs obscurs d'un Juif polonais né en France
• 1979 J'ai connu un espèce de petit bordel clandestin dans un bistrot de campagne. La patronne louait sa fille. source : 1979. Chouf ! Ils ont laissé leurs 20 ans en Algérie. Aujourd'hui ils parlent.
• 1950 Les murs étaient tapissés de glace comme dans tout bordel qui se respecte. source : 1950?. La Nonne
• 1794 Savez-vous ce qu'on répand dans le public ?… que le Luxembourg est le premier B..... de Paris ; que vous êtes ici un tas de P...... qui ................ et que c'est nous qui vous servons de Maq....... source : 1795 (an III). Almanach des prisons
• 1935 Nous sortons ensemble quand nous avons des sous. Nous allons au bordel et nous revenons à pied, en parlant de la Révolution. source : 1935. Mer Noire
• 1884 Du mot bordeau est venu celui de bordel, qui est définitivement resté et qui est communément employé par tous les clients des maisons de tolérance. La majeure partie des écrivains contemporains le considèrent comme un terme grossier et se gardent bien de l'écrire ; ils se servent du mot lupanar (ce qui, par parenthèse, revient exactement au même), ou mettent un b qu'ils font pudiquement suivre de plusieurs points. C'est de l'enfantillage. source : 1884. La prostitution contemporaine
• 1803 Dans les premiers temps de la détention, on avait renfermé beaucoup de femmes au Luxembourg ; des hommes du dehors avaient la permission de venir les voir ; et alors quelques coteries de prisonniers étaient excessivement gaies. « Savez-vous ce que l'on répand dans le public, dit un jour Marino en parlant à ces dames, que le Luxembourg est le premier b..... de Paris, que vous êtes ici un tas de p.... qui ..... et que c'est nous qui vous servons de m....... » source : 1803. Essais historiques sur les causes et les effets de la Révolution de France (tome cinquième)

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