fille de joie (depuis 1389) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

• 1953 on constate que les militaires – les menus – séduisent avant tout les bonniches, les serveuses de bistros, les filles de joie, les paysannes, les bourgeoises sans discernement source : 1953. Allons z'enfants
• 1757 c'est pourtant ben dur de n'avoir qu'une gnièce et de la voir fille joyeuse source : 1757. Mademoiselle Javotte - Ouvrage moral, écrit par elle-même et publié par une de ses amies
• 1887 la fille de joie, autre euphémisme pour qualifier la fille de peine source : 1887. Le chiffonnier de Paris - Grand roman dramatique
• 1815 Rien de plus comique, quand vous montez chez des filles de joie, que de les entendre vous raconter leur origine. S'il faut les croire, pas une n'était faite pour ce vil métier, et cependant toutes le font avec plaisir. source : 1815. Le Palais-Royal ou les Filles en bonne fortune
• 1789 L'abus principal du commerce des filles de joie, est qu'elles ne sont tenues par aucune loi de déclarer si elles ont du mal. D'où il arrive souvent qu'on attrape la vérole, en croyant avoir un pucelage. source : 1789. Dom-Bougre aux états-généraux, ou doléances du portier des Chartreux

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