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Citations relevées dans “Coplan coupe les ponts” (1966)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Coplan coupe les ponts, avec l'entrée qui y est attachée.

  • Ou bien il s'agissait d'un malentendu, ou bien l'affaire était tombée à l'eau – (à l'eau)
  • J'espère que vous ne nous en voulez pas de vous avoir fait faux bond cet après-midi ? – (32142)
  • On trouve beaucoup de casse-cou parmi les mercenaires, mais ce sont généralement des desperados, des hors-la-loi, des inadaptés de la vie sociale – (casse-cou)
  • La plupart des jeunes nations de ce continent font comme moi : elles mangent à tous les râteliers. Un jour à l'Est, un jour à l'Ouest, ça varie selon les offres – (manger à tous les râteliers)
  • laissez-moi vous dire que vous perdez votre temps. Je suis allergique aux confidences sur l'oreiller – (sur l'oreiller)
  • Au dehors, vous êtes dur comme un roc et froid comme un iceberg – (dur comme un roc)
  • Au dehors, vous êtes dur comme un roc et froid comme un iceberg – (froid comme un iceberg)
  • Il faut tout de même savoir ce que vous voulez ? Un type à poigne, un entraîneur d'hommes ou un simple pantin dont on tire les ficelles ? – (avoir de la poigne)
  • Il faut tout de même savoir ce que vous voulez ? Un type à poigne, un entraîneur d'hommes ou un simple pantin dont on tire les ficelles ? – (pantin)
  • En somme, résuma Juan, la mariée est trop belle ? Cousteix a trop d'envergure et cela vous fait peur ? – (la mariée est trop belle)
  • Réfléchissez bien, car une fois qu'il sera sur le coup, nous serons tous dans le même bain et nous ne pourrons pas faire machine arrière – (faire machine arrière)
  • Et si vous disparaissez dans la nature avec votre acompte ? – (dans la nature)
  • les trucs habituels : origine des protagonistes, provenance des fonds et des armes, complicités internes, les ramifications militaires, tout le bazar quoi ! – (et tout le bazar)
  • J'ai bien regretté mon attitude de l'autre soir, je vous le dis en toute sincérité. -Le facteur sonne toujours deux fois, riposta-t-elle, malicieuse – (le facteur sonne toujours deux fois)
  • Heureusement que les gens de votre espèce ne courent pas les rues ! – (ne pas courir les rues)
  • le Ghana […] me paraît un gros morceau [pour faire un coup de force] – (gros morceau)
  • Sachez seulement que tout sera liquidé avant le 15 octobre – (liquidé)
  • pour donner au Ghana plus de justice sociale. -Sans blague ? s'exclama familièrement Francis en forçant un peu l'expression incrédule qu'il affichait ? – (sans blague)
  • En gros, comment prévoyez-vous les réactions extérieures ? insista Francis qui voulait absolument amener le mulâtre à montrer ses cartes – (montrer ses cartes)
  • même si je devais chômer pendant un certain temps, j'ai des réserves qui me permettent de voir venir – (voir venir)
  • Écoutez, Cousteix, coupons la poire en deux : nous acceptons votre tarif, mais vous faites une concession au point de vue des modalités de paiement – (couper la poire en deux)
  • Il ne faut pas seulement libérer vos deux amis, il faut carrément foutre toute la prison en l'air. C'est un symbole, si vous voyez ce que je veux dire ? – (foutre en l'air)
  • Conchita, en tenue d'Eve, repoussait les volets de bois de la fenêtre – (tenue d'Eve)
  • Bon, ouvre tes deux oreilles, j'ai des tas de choses à te raconter – (ouvrir les oreilles)
  • Questionnez votre soeur, c'est elle que ça regarde. -Oh, pas la peine ! Je la connais comme si je l'avais faite ! – (connaître qqun comme si on l'avait fait)
  • Un bain chaud, puis une douche froide, rien de tel pour se remettre d'aplomb – (être d'aplomb)
  • On se sent un peu vaseux après dix heures de voiture, non ? – (vaseux)
  • Tu nages en pleine illusion, tu brodes et tu enfourches des chimères... – (enfourcher des chimères)
  • j'ai surtout l'impression que je suis en train de manger mon pain blanc avant mon pain noir, comme disait mon grand-père – (manger son pain blanc avant son pain noir)
  • si j'ai un conseil à te donner, c'est de mettre un frein à ton imagination – (mettre un frein à)
  • Si deux ou trois détachements de soldats ghanéens me tombent sur le râble, ce ne sont pas des faire-part de mariage qu'il faudra faire imprimer pour moi – (tomber sur le râble)
  • Je n'ai ni domicile ni adresse. Rien dans les mains, rien dans les poches – (rien dans les mains, rien dans les poches)
  • Il y a belle lurette que les polices politiques de certains pays m'auraient mis la main au collet si j'avais pignon sur rue ! – (avoir pignon sur rue)
  • à ta place, je réfléchirais. Les meilleurs amants font les plus mauvais maris, c'est bien connu – (les meilleurs amants font les plus mauvais mari)
  • –Mais pourquoi ces cachotteries ? –Kissuah a formellement exigé ces précautions. Il est hanté par l'idée que quelqu'un de son entourage pourrait le trahir – (46779)
  • Votre sympathie ou votre antipathie, je m'en fiche comme de ma première culotte – (s'en soucier comme de sa première paire de chaussettes)
  • je n'ai jamais toléré qu'on me parle haut, et personne ne m'a jamais marché sur les pieds – (ne pas se laisser marcher sur les pieds)
  • Votre argent, vous pouvez vous le mettre où je pense – (se le mettre où je pense)
  • Quelle vie ! soupira-t-il. Je n'ai pas fermé l'oeil depuis 48 heures – (fermer l'oeil)
  • Mais, grands dieux, qu'est-ce que je vais faire dans ce merdier, moi ? – (merdier)
  • Et le Vieux, comme on le connaît, ne reculera devant rien pour étouffer dans l'oeuf cette révolution qu'il juge inoportune – (dans l'oeuf)
  • Vous savez probablement de quoi il s'agit ? –Grosso modo, oui – (grosso modo)
  • Vous ne tenez pas ce Kissuah pour un homme dangereux ? s'étonna la major. -Non, répondit Jarabuah. C'est un illuminé – (illuminé)
  • Coplan aurait très facilement pu se dérober à cette surveillance. Brouiller une piste, semer un ange gardier, c'est l'enfance de l'art – (ange gardien)
  • Son complot est pourri jusqu'à la moelle – (jusqu'à la moelle)
  • Même s'il se fait savonner la tête par le Président de la République, on s'en fout ! – (savonner la tête)
  • Balekian est certain que Kissuah va se casser la gueule – (se casser la gueule)
  • Il rappliqua avec une seule bouteille de bière. Ghola l'invectiva, lui montra quatre doigts de sa main droite, le remballa avec un bon coup de pied dans les fesses – (46785)
  • Car, outre Coplan, il y avait au camp trois anciens Affreux qui avaient déserté le Katanga – (Affreux)
  • Un bidule que Coplan connaissait : il s'agissait d'un appareil photographique surminiaturisé, d'origine japonaise – (bidule)
  • Le Noir, haletant comme un soufflet à forge, cherchait éperdument une prise à la gorge de son antagoniste – (comme un soufflet à forge)
  • Comme il n'avait pas lâché la lampe de poche, il frappa avec un coin du boîtier de métal le grand oeil écarquillé qu'il avait devant la figure. Et il y mit le paquet – (mettre le paquet)
  • Sans essayer de finasser sur le plan technique, Francis utilisa les moyens du bord – (moyens du bord)
  • Les doigts d'acier de Francis tinrent bon et restèrent incrustés dans le cou du malheureux jusqu'à son ultime gigotement – (gigotement)
  • Dieu sait ce qu'il y a sur la pellicule – (Dieu sait ce que)
  • Vous aviez raison sur toute la ligne – (ligne (sur toute la -))
  • –Elle travaille pour l'inspecteur Wokame, le bras droit de Jarabuah. –J'en étais sûr. Nous sommes flambés – (flambé)
  • Ne voyant pas revenir ses espions, Jarabuah ne va pas rester à se tourner les pouces – (se tourner les pouces)
  • Demain, ce sera trop tard, affirma le mulâtre. Même si Jarabuah tente de réagir, les jeux seront faits – (les jeux sont faits)
  • –Vous mettez ma loyauté en doute ? –Non, mais je me demande parfois si vous avez encore le feu sacré […] Dites-moi que vous avez la foi, Cousteix – (avoir le feu sacré)
  • Mais ça n'a plus tellement d'importance : les dés sont jetés ! – (les dés sont jetés)
  • Francis comprit que ce n'était pas encore cette fois-ci qu'il pourrait envoyer en catimini son message à AF 35 – (en catimini)
  • plus le moment d'aller à Accra mais de piquer sur la proche frontière du Togo – (46795)
  • Sous le choc, l'opérateur-radio, qui était déjà moitié groggy, fut éjecté de la jeep et s'en alla bouler sur le sol pierreux – (bouler)
  • L'Allemand Werner s'amena au pas de charge – (au pas de charge)
  • Les deux ex-Affreux, entraînés aux actions improvisées des commandos de choc, pigèrent très vite ce que Coplan avant dans la tête – (Affreux)
  • Quelques-uns des Ghanéens qui se trouvaient du côté droit de la route se mirent à gueuler en gesticulant, mais la jeep leur passa devant le nez à fond de train – (sous le nez)
  • les troupes motorisées du Ghana allaient certainement boucler la zone frontière – (boucler)
  • Tout s'était si bien passé qu'il se sentait méfiant : c'était trop beau pour être vrai – (trop beau pour être vrai)
  • Francis, assez épaté par sa découverte, remit les papiers dans la mallette, referma celle-ci. Le Vieux allait faire une drôle de tête en prenant connaissance de cette missive – (faire une drôle de tête)
  • marchez soixante minutes sous protection, établissez balisage fumée pour hélico – (hélico)
  • Il était chargé comme un mulet : l'émetteur-récepteur sur son épaule gauche, la mallette de Kissuah dans la main droite, le lourd ceinturon de feu Ludwig autour de la taille, deux pistolets automatiques dans les poches – (chargé comme un mulet)
  • Toutes les preuves que vous pourrez me rapporter seront les bienvenues. Dans les circonstances présentes, c'est de l'or en barres – (or en barre)
  • À l'avenir, il faudra se souvenir qu'il y a Chinois et Chinois [Chinois de Chine, et Chinois de Formose] – (il y a X et X)
  • on pouvait se rendre compte que les trois hommes avaient des figures de gros soucis. Ils arboraient des figures d'enterrement – (gueule d'enterrement)
  • Jusqu'à preuve du contraire, les Chinois de Taipeh ignorent que les archives de Kissuah ne sont pas perdues pour tout le monde – (pas perdu pour tout le monde)
  • Dieu n'a aucun défaut, mais il en a donné beaucoup aux hommes. […] C'est extrait d'un chant des Bantous – (46803)

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