2. [Pour indiquer le mécontentement, la désapprobation] Froncer le(s) sourcil(s). Le comte Maxime fronça le sourcil, il se doutait bien que l'usurier donnerait (...) une plus faible somme des diamants (Balzac, Gobseck, 1830, p. 412). Elle fronça les sourcils quand Stépha déclara que les gens étaient d'autant plus internationalistes qu'ils étaient plus intelligents (Beauvoir, Mém. j. fille, 1958, p. 287).
− P. anal. [À propos d'un pays] [L'Allemagne] se trompait (...) si elle se figurait qu'il suffirait d'un froncement de sourcil (...) pour intimider ce pays [la France] (Jaurès, Eur. incert., 1914, p. 61). (tlfi:sourcil)