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Citations relevées dans “Perdus dans le djebel”

  • tel qui semble un rouspéteur né grogne même dans son sommeil – (rouspéteur, X né)
  • à un des crochets une musette des surplus laisse passer un goulot de « gros rouge » – (rouge)
  • C'était dans un bled du Tafilalet, un univers de rocaille et de buissons de lenstiques, enfer brûlant le jour, ombre glacée la nuit – (bled)
  • il ne leur serait même pas venu à l'idée que leurs moukalas [note : Fusils (en arabe)] puissent servir dans un avenir proche à autre chose qu'aux tirs d'entraînements ou aux balles tirées contre les chacals glapissants. – (moukalah)
  • Un matin, Ali, mon ordonnance, un solide Chleuh du Nord, était venu au pas de course – (78287)
  • un morceau de papier informe où le radio du camp avait gribouillé le message. – (gribouiller)
  • Eh bien ! mon vieux, les Ratons s'énervent de plus en plus !… Meknès en particulier n'est plus une villégiature de choix… – (raton)
  • L'autre jour, je me suis fait allumer en sortant de Bousbir, et je suis rentré par le raccourci, pistolet au poing et le trouillomètre à zéro ! – (allumer, trouillomètre à zéro)
  • Les Bougnoules ne bougent même pas le petit doigt, et c'est déjà quelque chose ! – (quelque chose)
  • Mon vieux Ritard, les Bics du coin ne laissent monter jusqu'au camp que leurs plus vieilles fatmahs, et à moins d'être ivre mort, tu seras incapable de même leur faire un sourire ! – (bique, fatma)
  • Une fois El Hajeb passée, fais gaffe !… Il pourrait bien y avoir un tordu qui t'allume ! – (allumer)
  • Il s'était levé, me tendant la main, son sourire des bons jours sur sa bouche distendue par une cicatrice – (79708)
  • Après une bonne soirée de « dégagement », j'avais pris l'avion à l'aube – (dégagement)
  • Faites excuse, maréchal des logis !… Vous ne seriez pas le maréchal des logis Lourmel par hasard ?… – (par hasard ?, faites excuse)
  • Celui-ci doit avoir fait toute sa carrière dans les bureaux, car il a le tient cireux et atrabilaire des gratte-papiers – (gratte-papier)
  • Maréchal des logis, j'attends cet après-midi quelques pingouins rappelés sous les drapeaux !… J'en ai cinq à vous confier personnellement ! – (pingouin)
  • La colère me monte au nez et j'explose, figé au garde-à-vous – (79710)
  • je manque de tomber en bousculant mon estafette de tout à l'heure, qui arrive avec un plateau chargé de café fumant et de tartines. Je passe ma colère sur lui : –Et alors !… Vous ne pouvez pas faire attention, bougre d'empaillé !… Vous voulez que je vous flanque huit crans, non ? – (empaillé, cran)
  • –Robert Damier ! Une voix gouailleuse me répond, toute proche : –On y est ! Celui-là est plus que sympathique : il représente le type même de la grande « gueule », toujours en train de blaguer ou de rouspéter, mais pas méchant pour un sou dans le fond. – (grande gueule, pas X pour un sou)
  • Lui non plus ne s'est pas mis en frais de toilette, et il ne s'est pas encombré de bagages : deux paquets tant bien que mal ficelés, une musette, et un litre de vin rouge qui en dépasse ! – (53961)
  • je le caricature tout de suite : bonne situation dans le civil, intellectuelle sans doute, bon esprit, bonne volonté, mais pas militaire pour un empire ! – (pas pour un empire)
  • Vous ne pourriez pas faire marcher vos hommes en rangs par deux et au pas ?… –Ils n'ont plus l'habitude, mon capitaine ! –Je ne veux pas le savoir ! – (79711)
  • Je ne suis pas un juteux ni une ganache des bureaux… – (ganache)
  • Je sors des Tabors, c'est vous dire que je sais me faire obéir au besoin !… Et malgré quelques blessures, je ne suis pas manchot ! – (pas manchot)
  • Du moment qu'il s'agit de découdre du Bougnoule, j'en suis… – (en découdre)
  • Chez moi, c'est une question de peau !… Je ne peux pas supporter tous ces mal blanchis qui veulent prendre des allures de civilisés ! – (mal blanchi)
  • Ça sera fait maréchal des logis ! […] parole de Nounours ! –Nounours ?… –Oui, tout le monde m'appelle comme ça ! – (parole de X)
  • –Compris, mon vieux… Inutile de me faire un dessin ! – (faire un dessin)
  • Non mais c'est vrai, il me les fatigue, ce type, avec ses grands airs et sa valise en peau de fesses ! – (il me les fatigue, 69188, valise en peau de fesses)
  • Le Plafond de travers, lui, c'est la « Patate », ou la « Glissière », à cause de son blaze à la mords-moi-le-nez ! – (à la mords-moi-le-nez)
  • Je ne saurai trop vous exhorter également à vous faire couper les cheveux légèrement plus courts !… Si le capitaine […] vous tombe dessus, je doute qu'il ne vous fasse tondre à zéro ! – (tondre à zéro)
  • Maréchal des logis, vous pouvez y aller !… C'est de la bonne camelote, bien graissée, bien rodée aussi d'un sens ! – (camelote)
  • Celui-ci bouillait d'impatience d'arriver en Afrique du Nord et de « bouffer du Raton », comme il le clamait partout. – (bouffer du X)
  • à force de faire des « crasses » à un ami, rien d'étonnant s'il vous plaque un jour ! – (crasse)
  • Il a trouvé moyen, avant de partir, de « chiner » un paquet de coton pour sa trousse de pansement personnelle – (chiner)
  • –Nom d'un pétard !… Venez, de Plafomba ! – (nom d'un pétard !)
  • cette attitude fait une bien fâcheuse impression sur tout le monde, pros ou antis. – (pro-, anti)
  • On a bien essayé de le chiper au passage, mais pas moyen de lui mettre la main dessus !… Sans ça, il avait droit à une corrida maison, je te garantis ! – (corrida)
  • Vous, si vous n'arrêtez pas de me casser les choses, je vous flanque un rapport pour mauvaise tenue et manque de respect à un supérieur, vu ?… – (casser les choses, 78139, 64759, 79718)
  • –Du drap impeccable, des armes à la dernière mode, bien graissées, tout le saint frusquin du parfait fantassin… – (saint-frusquin)
  • Nous vîmes la femme sursauter, ouvrir des yeux comme des boules de loto, en avaler sa fumée de travers, et exploser dans une quinte de toux et d'hilarité mélangées. – (boule de loto)
  • –Je ne dors jamais en chemin de fer, Damier. –Vous avez drôlement dû vous faire suer. – (faire suer)
  • Lorsque vous connaîtrez l'ambiance du camp Sainte-Marthe, je doute que vous ne pensiez pas comme moi, que le mieux est encore de traverser la Grande Bleue ! – (Grande Bleue)
  • Donnez-moi de l'eau, faites-moi de la place dans un coin du compartiment, et en trois fournées je vous fais un délicieux nescafé de derrière… les chemises ! – (de derrière les fagots)
  • ma petite femme m'a donné un partant un de ces petits rhums de chez l'épicier…, je ne vous dis que ça !… – (je ne vous dis que ça)
  • –Et tu n'as pas encore sifflé la bouteille ?… – (siffler)
  • Je veux bien être un soiffard, mais qu'on me prenne pour un type qui boit en juif, ça ne marche plus ! – (soiffard, en juif)
  • Je veux bien être un soiffard, mais qu'on me prenne pour un type qui boit en juif, ça ne marche plus !… C'est ça, mon pote, le communisme : tout au gourbi !… Sauf ma petite femme, évidemment ! – (gourbi)
  • Croix de Guerre T.O.E., médaille d'Indo ? – (Indo)
  • Où se trouvent les toilettes, mon vieux ?… –Je n'en sais fichtre rien – (fichtre X)
  • tout le monde s'est retrouvé à la Boule Verte, un dancing que je connaissais depuis que j'avais fait mon premier passage à Marseille. On y trouvait de la musique potable, de quoi boire à prix abordable, des filles pas trop farouches – (potable)
  • La fille arrive jusqu'à nous, tortillant sa croupe un peu forte, balançant des avantages proéminents qui attirent le regard de Damier. – (croupe, avantages)
  • La fille arrive […] balançant des avantages proéminents qui attirent le regarde de Damier. –Cré nom de d'là !… Si je pouvais le blairer, je me mettrais bien au lolo, mais uniquement pour les emballages ! – (cré nom de d'là, lolo)
  • Il y a bientôt cinq filles à notre table… De Plafomba a récupéré une grande blonde bête à loisir – (79719)
  • –Minute, les Hidalgos !… Si vous voulez la castagne, on va vous en donner. – (castagne, hidalgo)
  • Couchez-vous tous, nom de Zeus ! – (nom de Zeus !)
  • si vous vous faites prendre en ville par la patrouille sans titre de permission, c'est moi qui prendrai ! – (prendre)
  • Je ne suis peut-être pas très attiré par le « Noblard », mais je voudrais que vous sachiez que nous ne voulons pas vous faire de crasse… Pas plus lui que nous tous ! – (noblard)
  • J'ai découvert tout à fait par hasard le secret de de Plafomba, et j'estime qu'il n'y a pas de quoi fouetter un chat ! – (il n'y a pas de quoi fouetter un chat)
  • Nous quittons le camp rapidement, non sans que le sous-officier de service chez les Sénégalais ne m'ait tenu le crachoir assez longtemps, sous le prétexte que nous avons tous les deux connu les horreurs de la plaine des joncs. – (tenir le crachoir)
  • J'ai réussi à bouleverser la sacro-sainte routine des bureaucrates, et nous vous avons déniché six places sur un cargo américain – (bureaucrate)
  • Je suis condamné à cause de l'obus piégé d'un Nhacué, à terminer ma vie dans la paperasse ! – (niaqoué)
  • Mon vieux, l'heure a sonné !… Demain à midi, nous embarquons sur un cargo américain, à destination d'Alger ! – (79722)
  • Les dégagements entre chef et hommes, c'est une vieille tradition que je respecte depuis que je suis gradé, et je sais que c'est, pour les hommes, la nécessaire détente qui les empêche de songer à tout ce qu'ils quittent et à l'Inconnu qu'ils vont affronter. – (dégagement)
  • Damier !… Si vous n'avez pas encore vidé toutes les bouteilles, apportez-les donc ! Il fait soif, ici ! – (faire soif)
  • –Vous savez chanter ? –Oui, maréchal des logis !… Même que je suis chanteur de charme à mes heures ! – (79723)
  • –Moi, maréchal des logis, je vais faire la Marie-Chantal !… Vous pensez si je la connais : c'est l'essentiel de ma clientèle [c'est un décorateur] ! – (Marie-Chantal)
  • Martin et moi racontons des histoires plus ou moins salées pendant un bon bout de temps – (salé)
  • Pour une fois que j'ai une scène bien à moi, vous pensez que je ne vais pas la lâcher comme ça, non ? – (comme ça)
  • Et je l'entends murmurer, cependant qu'il regagne le baraquement : –Quelle c..., la guerre ! – (quelle connerie la guerre)
  • Le baroud a un avantage intrinsèque : il nous fait vivre dans la plus fervente des communions avec d'autres hommes… C'est celle de la commune « vache enragée » ! – (bouffer de la vache enragée)
  • mes chefs savent que, s'ils ont besoin d'un baroudeur pas trop mauvais, je suis là ! – (baroudeur)
  • Vous ne verrez jamais beaucoup de ceux que vous croyez le type même du militaire de carrière au front : ce sont des chiens de quartier. – (chien de quartier)
  • je trouve Lancien, toujours mélancolique, attablé devant un illustré yankee où les pin ups multicolores foisonnent – (Yankee)
  • Comment allez-vous faire là-bas ?… Il y a bien Bousbir, mais je sais aussi bien que vous que ce n'est pas uniquement ce que nous recherchons chez la Femme. – (bousbir)
  • Well, pal, we'll have one Bourbon…, it's for the Sergeant !… Et one coke [note : Coca-cola en slang U.S.] for me ! – (29156)
  • Il dit que c'est la tournée des U.S.A. !… Et que nous pouvons aller nous faire cuire un oeuf avec notre pognon ! – (envoyer se faire cuire un oeuf)
  • Il se redresse, se retourne, furibond, mais en me reconnaissant passe par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel – (voir toutes les couleurs de l'arc-en-ciel)
  • Qu'est-ce que tu veux, toi, blondinet ?… Ma photo ? – (tu veux ma photo ?)
  • Vous nous emmenez ? –C'te bonne blague !… Bien sûr, maréchal des logis ! – (cette blague)
  • –Vous avez l'air de bien connaître le bateau, dites-donc ? Il a un regard ulcéré vers nous deux : –Comme si Damier ne commençait pas toujours par fouiner dans tous les azimuts ! – (dans tous les azimuts)
  • Une de ces poupées, maréchal des logis, vous m'en donnerez des nouvelles ! – (tu m'en diras des nouvelles)
  • Ils sont tous là-haut, en train de mater en pères peinards ! – (en Père Peinard)
  • Elle est réellement splendide, avec de longues jambes fuselées, un ventre plat, et les plus adorables hémisphères que chaque Terrien rêve de conquérir un jour, par aventure ou par besoin d'évasion ! – (hémisphère)
  • Martin […] ne bouge pas d'une ride, mais ses poings crispés sont assez éloquents – (79726)
  • Elle enfile maintenant un soutien-gorge, prenant bien le temps d'enclore délicatement chaque globe menu et frémissant dans la soie – (globe)
  • Le silence plane sur notre petit groupe, et c'est naturellement Damier qui l'interrompt, d'une voix rauque : –Nom de d'là de nom de d'là !… – (nom de d'là !)
  • Le barman est en train de lire un « Comics », et Damier le trouve tout de suite sympathique, essayant de bafouiller dans un anglais petit nègre qui nous fait tous éclater de rire : –Hello Machin !… Me, même chose, I love very much Mickey « Mouse »… – (petit nègre)
  • Si tu jactes l'anglomuche, envoie-lui plutôt les couleurs : je lui refile les miens contre les siens ! – (anglomuche, 79728)
  • comptez sur moi pour en boire le maximum !… C'est toujours ça de récupéré sur ce qu'ils nous volent ! – (c'est toujours ça de pris)
  • Moi, j'ai fait comme tout le monde, j'ai donné dans la bergère au maximum, mais le jour où j'ai connu ma petite femme, je me suis drôlement rangé des voitures ! – (bergère, donner dans X, se ranger des voitures)
  • Pourvu qu'elles aient tout ce qu'il faut pour rendre leur bonhomme heureux, qu'elles fassent une bonne tambouille et ne soient pas trop râleuses, c'est le paradis sur Terre, et ça vaut le coup d'en baver un peu ! – (79729, tout ce qu'il faut où il faut)
  • –Ça vous sera égal de fricoter avec des mouquères ?… Il s'esclaffe, tout enluminé à la perspective que je lui fais miroiter : – Ah ! Ah ! Ah !… Y en a bono même chose, maréchal des logis ! J'en connaissais une qui faisait le turf à Barbès quand j'étais garçon, elle avait des Jerricans, je ne vous dis que ça ! Il a un geste emphatique qui me fait supposer qu'il les aimait bien dodues… – (bono, jerricans)
  • Je ne suis pas raciste, mais j'ai tellement entendu dire que les Nord-Africaines étaient malades, que je ne voudrais pas trop m'y frotter ! – (s'y frotter)
  • je peux vous certifier une chose : un garçon à peu près propre et prudent ne risque pas plus qu'auprès des « abeilles » du Sébasto ou de la Chapelle ! – (abeille)
  • Demandez donc au « Noblard » combien de marraines de guerre il a – (noblard)
  • ces bécasses sont tellement langoureuses et abruties par la littérature à l'eau de rose qu'elles me tomberont dans les bras les unes après les autres ! – (bécasse, à l'eau de rose)
  • je souhaiterais presque que tu te fasses avoir au béguin par une « bougnoule », comme tu dis ! – (béguin)
  • Non seulement elle nous paye le cinéma cochon à l'oeil, mais en plus elle rince ! – (79731)
  • je me demande si Damier saura se tenir convenablement sans faire le clown – (faire le clown)
  • j'ai tout loisir de comprendre combien la situation a évolué depuis mon départ, mais hélas pas dans le sens où nous le désirions tous : les « moutchos » ne viennent plus hurler, en bandes rieuses et solliciteuses, au pied des portes – (79732)
  • Cet idiot-là est fichu de se mêler à une patrouille ! – (fichu)
  • J'ai fait déployer mes hommes en tirailleurs en cas de commando bic ! – (bique)
  • Damier hausse les épaules et tire un litre de vin presque plein de sous la banquette : –Tiens, grand guerrier !… Colle-toi ça dans le gosier, pendant ce temps-là, au moins, tu ne nous casseras pas les pieds. – (se coller qqchose dans le gosier)
  • Le planton se fige au garde-à-vous, la main au chèche – (chèche)
  • Il ne perd pas de temps, le pacha. Il y a à peine deux heures que nous avons mis le pied dans la cour d'honneur du quartier : il a fallu parer au plus pressé et installer mes cinq numéros, ce dont le lieutenant commandant mon propre peloton s'est occupé allègrement, m'expliquant : –Ne vous en faites pas, Lourmel, je me charge de prévenir le capitaine tout de suite ! – (pacha)
  • –J'étais en mission, mon vieux [à Paris] !… Là-bas, c'est bien toujours le même « beans » !… Et ici, comment ça va ? – (bin's)
  • Bon, je vais au rapport du Vieux [colonel]. Je te reverrai ce soir au mess, avec les copains. – (vieux)
  • –Nos jeunes gaillards sont-ils gonflés ?… On raconte tellement de choses sur les rappelés, dans les journaux, que je me demande un peu s'ils vont me servir à quelque chose ! – (gonflé)
  • de braves garçons, guère enchantés, il faut bien que je le reconnaisse, de remettre ça pour un temps X – (79733)
  • Je n'ai pas encore compris par quelle fantaisie de Sainte-Paperasse ils me les ont envoyés !… Je n'ai demandé que des armes, pas des gaziers ! – (79734)
  • il passera peu d'eau sous les ponts avant que vous ne les preniez sur les reins ! – (de l'eau a coulé sous les ponts, sur les reins)
  • Et si vous allez à Bousbir, arrangez-vous pour ne pas prendre une grenade sur le dos – (bousbir)
  • Les gars, je vous emmène tous dans quatre jours en poste dans le bled… Une région charmante d'ailleurs… – (bled)
  • J'ai quitté une Lolita en larmes, mais elle sait aussi bien que moi que nous nous retrouverons si j'en sors – (37694)
  • La piste serpentera à travers les dunes de sable et les tas de rocaille rendue ardente par l'implacable soleil du Sud, le Moulanah des légendes berbères. – (moulana)
  • Ceux qui ne seront pas de garde pourront se promener un peu, mais attention au coup du canapé ! […] Le coup du canapé est une vieille tradition juive : une fille entraîne un Français, quel qu'il soit, chez elle, sous un prétexte quelconque – que le garçon trouve d'ailleurs tout seul pour peu que la fille soit jeune et jolie ! – et une fois là, toute la famille rapplique à grands cris, se lamentant sur tous les tons, invoquant tous les saints de Yaweh, et le lendemain, il y a une demande de réparation en règle sur le bureau du colonel commandant le régiment de l'intéressé ! – (79735)
  • de nombreuses jeunes filles, souvent très jeunes, accepteront facilement de se laisser entraîner vers les remparts moyennant honnête rétribution… Cependant, ne vous étonnez pas si elles renversent la situation – je me comprends et m'explique ! – en vous disant : « Jé vé bien fér évec toi, mais mon virginité, cé bor mon vianzé ! ». Damier, le premier, comprend ce que j'entends par « renverser la situation » et s'esclaffe : –Ces sacrés Youdis tout de même !… De ce côté-là, ils ne risquent pas d'attraper de la graine de Goye ! – (youdi, 79736, 79737)
  • –Se faire trouer la peau pour les juifs !… On aura tout vu ! Je ne daigne pas répondre, bien que partageant son point de vue – (on aura tout vu)
  • Tout ça [les Juifs] c'est de la graine de capitalistes ! Ça commence tout petit, tout rat, au Ghetto ou au Mellah, et en deux ou trois générations, c'est banquier ou financier ! – (graine de X)
  • –Quel dommage de ne pas avoir touché de masques à gaz !… Chez les Bicots ça ne sent déjà pas bon, mais alors ici !… C'est l'odeur du quartier juif, celle de toutes les communautés israélites du monde, indéfinissable, mais tenace, putride, attachée à cette race maudite de génération en génération… – (bicot)
  • Moi, j'y crois pas à votre truc !… Et si c'est vrai, je ne marche pas dans le bizness !… – (79738)
  • Je lui dirais bien deux mots, moi, à la petite de droite ! – (dire deux mots)
  • Pour une fois le dieu des ivrognes ne l'aura pas protégé – (79739)

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