alpaguer (depuis 1935) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

• 1963 Ce n'était pas le moment de se faire alpaguer pour excès de vitesse source : 1963. Satan est là
• 1960 Se faire alpaguer ailleurs, par d'autres que lui, qui n'en a réellement rien à foutre de faire du zèle ! source : 1960. Du mouron pour les petits oiseaux
• 1955 On l'avait buté ? Tant mieux. Qu'il se démerde avec son assassin. En tout cas, son assassin, ce n'est pas moi qui lèverais le petit doigt pour qu'on l'alpague source : 1955. Fièvre au Marais
• 2007 J'alpague le sac suspect et avant de tirer ma révérence, je prends rendez-vous : –Demain, dix heures chez toi ! source : 2007. La gigue des cailleras
• 2007 On les dérouille et on rentre ! hurle-t-il, en alpaguant son pardosse. source : 2007. La gigue des cailleras
• 2007 Il réalpague la poignée et trouve de nouveau refuge dans la mutité source : 2007. La gigue des cailleras
• 1976 Tu me diras que personne n'a vu ton visage ? D'accord ! Mais ta silhouette suffira ! Ils te lâcheront pas s'ils t'alpaguent. Et ici t'es pas en sécurité. source : 1976. Histoire criminelle de Rafaël Mendoza
• 1976 Se courbant en avant, il alpagua Goya par le devant du manteau. source : 1976. Histoire criminelle de Rafaël Mendoza
• 1965 quel affront pour les autres colonels qui se sont laissés alpaguer comme nous autres, en se disant : « Pas trop tôt que ça cesse !… » [1940?] source : 1965. La débâcle
• 1998 Quand on peut, on évite d'alpaguer trop vite le malfrat. Il faut laisser décompresser la bête avant de lui sauter dessus. source : 1998. Le cercle noir

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