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Citations relevées dans “Deux papas très bien, ou la grammaire de Chicard”

  • TOURTEROT. –Enfin un déjeûner chicocandard ! MÉDARD. –Chicocandard… c'est clair… je comprends parfaitement… (Descendant la scène.) Eh bien ! non !… à présent que je suis seul… je peux m'avouer ça à moi-même… je n'y comprends rien du tout !… mon nouveau maître a un si drôle de jargon !… Il paraît que c'est depuis son voyage à Paris… Ah ! il a de drôles de mots tout de même : chicard… chicandard… chicocandard !… un vrai tintamarre ! – (chicocandard, chicandard, chicard, drôle de, tout de même)
  • À brocanter joli petit bazar entre cour et jardin. […] Toi, tu mettrais tout bêtement : « À vendre jolie petite maison, entre cour et jardin. » – (brocanter, bazar)
  • À brocanter joli petit bazar entre cour et jardin. […] Mon bazar ou ma souricière, comme tu voudras. […] Toi, tu mettrais tout bêtement : « À vendre jolie petite maison, entre cour et jardin. » – (56162)
  • Il ne comprend pas !… quel serin ce Médard ! – (serin)
  • –Vous vendez votre maison ? –Oui, je… certainement. (À part.) C'est une couleur, mais il l'ignore. – (couleur)
  • –Eh bien ! franchement, je n'aurais jamais compris… –Vous êtes si melons à Châtellerault ! –Possible ; mais, quand on s'adresse aux melons… qu'on veut être compris des melons, m'est avis qu'il faut leur parler le langage… melon. – (melon)
  • Mais que va dire mon fils à son arrivée, en retrouvant sa parternité si rococote ! –Votre fils ? –Oui, mon fils, mon moucheron, qui arrive aujourd'hui de Paris, le foyer du beau langage… – (moucheron)
  • Mais que va dire mon fils à son arrivée, en retrouvant sa parternité si rococote ! –Votre fils ? –Oui, mon fils, mon moucheron, qui arrive aujourd'hui de Paris, le foyer du beau langage… Il m'appellera perruque… – (vieille perruque)
  • mon fils, mon moucheron, qui arrive aujourd'hui de Paris, le foyer du beau langage… Il m'appellera perruque… Ah ! dame ! c'est qu'il en pince crânement, lui !… Si tu l'entendais ! quelle platine ! – (en pincer d'une bonne force, avoir de la platine)
  • –À Paris, tout le monde parle donc comme ça ? –Tout le monde ?… Ah ! non ; les gens de la haute seulement, ceux qui donnent le ton… – (donner le ton)
  • j'étais ce que l'on appelle un vrai cruchon – (cruchon)
  • je peux dire que j'ai goûté des plaisirs bien purs dans cette chaumière !… J'y ai vu la jeunesse dorée, tout ce qu'il y a de plus flambart dans la capitale, et il m'en est resté un certain vernis… – (jeunesse dorée, flambard, tout ce qu'il y a, 79263)
  • Ah ! si César n'avait pas cessé tout à coup de m'écrire, je dialoguerais aujourd'hui d'une façon un peu mouchique ! – (mouchique, un peu X)
  • je sentais mon Châtellerault d'une lieue, j'étais ce que l'on appelle un vrai cruchon – (sentir X)
  • Il écrit comme il parle… Quel style ! comme c'est fignolé !… Tu n'es pas sans avoir entendu parler de madame Sévigné… Eh bien ! franchement, ça la dégotte… – (fignolé, dégoter)
  • depuis qu'il a été reçu docteur, depuis six mois environ… ni, ni, fini, bonsoir à vos poules, plus de correspondance… – (n i, ni, c'est fini, bonsoir à vos poules)
  • Et moi qui avais besoin d'être entretenu dans la chose… je me rouille… je me dégomme… je rentre dans mon vieux cabriolet… – (se rouiller, se dégommer, 79266)
  • –Ah ! la belle femme ! –Tu trouves ? Eh ! eh ! eh !… c'est mon épouse, la défunte à papa… (Il se désigne du geste.) Un assez beau facies, hein ?… ça flatte un veuf… – (38653)
  • Allons, va mettre l'écriteau, va ! –J'y cours, bourgeois, j'y cours ! – (62293)
  • –Comment, j'y cours !… Arrive donc ici, toi, phénomène. Dans le beau monde, on ne dit pas je cours… on dit : Je me la casse… ou bien : Je me la brise. – (phénomène, 74849, se la casser, se la briser)
  • maintenant M. Poupardin et sa fille peuvent abouler quand bon leur semblera… – (abouler)
  • Voilà… tu es d'âge à prendre un mari… j'y ai songé… j'ai trouvé ton blot… appuie-toi sur mon aile, et en route pour Châtellerault, nous allons piger ce futur… – (blot, aile, piger, 79267)
  • il veut qu'elle rencontre mon rejeton par hasard… qu'il lui fasse l'oeil sans en avoir l'air, et que leur bonheur se bibelotte ainsi en douceur et comme sans préméditation… – (rejeton, faire de l'oeil, sans en avoir l'air, 79268)
  • Allons, ho ! du lest !… au reçu de la présente, file ton noeud vers le toit paternel ; j'ai levé pour toi une jeune poulette que je brûle de te conjoindre – (filer son noeud, lever)
  • Quant à la dot, cinquante mille balles, ça doit t'aller, viens-y ! – (balle)
  • –Et le déjeûner ? –Sur le gril. –Et mon fils qui n'arrive pas !… Où peut-il être ?… –(croyant qu'il n'a pas compris, en remontant.) Sur le gril, monsieur. –Quel haricot que ce Médard ! – (79269)
  • M. Poupardin, connu !… (Ils se serrent la main.) Et votre fille… votre accessoire ? – (connu !, 79270)
  • je dois vous dire que ma fille unique n'est pas mon seul enfant… Il peut m'en surgir un nouveau d'un moment à l'autre. –Qu'importe ? Dans notre famille, nous ne tenons pas à la monnaie : vous couperez le gâteau en deux, voilà tout… Et où est-il, ce jeune biberon ? – (79271, 79272)
  • J'étais garçon, alors, monsieur, et voyageur de commerce. Or, vous savez que dans cette arme… Mais je ne sais si je dois… –Allez donc !… je ne suis pas chipie, faites votre jeu. – (chipie, 72973)
  • Pour bien élever son enfant / Faut avoir connu la bamboche ; / On est toujours plus indulgent / Lorsque l'on n'est pas sans reproche. – (bamboche)
  • d'autant plus qu'Arthur c'est le petit nom à papa. (Il se désigne.) – (petit nom)
  • Maintenant, parlons d'autres choses… Voyons… ce mariage… –Il vous bottera… – (botter)
  • Permettez que je vous présente ma fille. –Mademoiselle… (Bas, à Poupardin) Chique !… très chique ! –Hein ?… –Je dis : chique, très chique. – (chic)
  • –Elle désirait que je la promenasse… j'ai pensé qu'il était bon que je m'exécutasse et que je l'emmenasse… –C'est un subjonctif à jet continu que ce beau-père. – (à jet continu)
  • Avant tout, nous casserons bien une petite croûte. – Soit, j'obtempère à ce voeu. –Médard ! Allons, Médard, en avant la gobichonnade ! – (casser la croûte, gobichonnade)
  • Dites donc, elle nous gêne pour causer, votre demoiselle ; est-ce qu'elle ne va pas se pousser un peu d'air ? –Hein ? –Elle nous embarrasse, ôtez-la. – (se pousser de l'air)
  • –Aurait-elle levé notre lièvre ? –J'en ai le trac. – (soulever le lièvre, trac)
  • Enfin, monsieur, nous pouvons nous ouvrir, maintenant qu'elle sait tout. –Ouvrons-nous, ça me chausse. – (chausser)
  • Cet homme a une façon d'exprimer sa pensée qui confond mon intellect. – (intellect)
  • Primo, d'abord, et d'un, j'ai l'honneur de vous présenter votre futur beau-père, un petit gris qui n'est pas encore trop déchiré, comme vous pouvez voir. – (primo d'abord, 79274, 79275)
  • un amour d'homme… Vous m'en direz des nouvelles. – (tu m'en diras des nouvelles)
  • Sa clientèle ?… Ah ! dame !… dans le commencement, il y a eu du tirage… mais, maintenant, ça boulotte, surtout depuis qu'il a mis une queue à son nom… – (tirage, boulotter)
  • Sa clientèle ?… Ah ! dame !… dans le commencement, il y a eu du tirage… mais, maintenant, ça boulotte, surtout depuis qu'il a mis une queue à son nom… depuis qu'il se fait appeler le docteur Césarius… vous comprenez, César, Césarius… Il s'est fait Polonais, parce qu'à Paris, en médecine, si on est un peu Polonais… – (79276)
  • Il est si ficelle, mon jeune homme… (À Camille.) Vous verrez comme il est ficelle. CAMILLE, étonnée. –Ficelle ! POUPARDIN. Ficelle ! – (ficelle)
  • Et, à Paris… un docteur… ça se met bien, n'est-ce pas… ça suit la mode ? –Ah ! pour ce qui est de la tenue… tout ce qu'il y a de plus verdâtre : pantalon écossais, burnous algérien, béret montagnard, la blague en sautoir et la bouffarde aux gencives. Quelle sensation il a faite à Châtellerault la dernière fois qu'il est venu me voir !… on louait des fenêtres pour le voir passer. Mais aussi quelle bouffarde ! –Bouffarde ! Qu'entendez-vous par ce substantif ? –Sa bouffarde ?… C'est Dagobert, sa pipe favorite, ainsi nommé parce qu'elle est culottée. – (79277, bouffarde, 79278)
  • En cire… Ah ! le bel écorché !… c'est parlant ; et puis c'est commode… On entre, on ne sait où placer son chapeau… (Il fait le feste.) Flac ! – (78076)
  • –C'est avec ça [écorché] qu'il a appris à disséquer. –Il dissèque ? –Comme un ange !… et il vous coupe une jambe que c'est un plaisir ; psit ! c'est fait !… On ne s'en aperçoit que lorsqu'on veut marcher… dit-on. – (comme un ange, 79279)
  • il va venir, vous pourrez l'allumer sous toutes ses faces… Oh ! mais je suis bien tranquille… il vous empaumera. –Vous dites, monsieur ? –Vous serez paumé, je ne vous dis que ça, vous serez paumaqué. –Paumaqué ! – (allumer, empaumer, 79280, je ne vous dis que ça, être paumaqué)
  • MÉDARD, entrant par la gauche. –Monsieur, le déjeûner est servi. TOURTEROT. – Ah ! ce n'est pas dommage… Et le notaire ? – (c'est pas dommage)
  • –En attendant, allons toujours tortiller. –Qu'est-ce que vous voulez tortiller, monsieur ! –Des alimens… des comestibles… – (tortiller, toujours)
  • Bientôt / Nous allons dire au galop / Un mot / À ce qu'il nomme un fricot ! – (dire deux mots à X (consommation))
  • Boire sans vergogne / Un Bourgogne / Qui cogne, / C'est pectoral / Et ça garnit l'bocal. – (31515, garnir le bocal)
  • Il paraît que la souricière ne leur sourit pas… et pourtant, ils déjeûnent : ce sont des pique-assiettes. – (pique-assiette)
  • le facteur qui me remettait un paquet de lettres venant de Paris… tout un arrérage de correspondance que je me suis fait transmettre ici, depuis que j'y ai planté mes lares… – (69762)
  • –Comment cela va-t-il ? –Mais pas mal, pas mal, surtout depuis que je suis avoué à Châtellerault. – (pas mal)
  • –Comment cela va-t-il ? –Mais pas mal, pas mal, surtout depuis que je suis avoué à Châtellerault. –Ah !… je vous offre mes congratulations… Vous voilà sur un bon pied. – (79283)
  • Comment ! monsieur, vous pensez encore… –À vous ? oui, toujours !… Est-ce qu'on peut oublier cet assemblage fantastique de toutes les grâces ? –Au fait, je me rappelle maintenant, à votre passage à Étampes, vous nourrissiez déjà l'espoir… –Et je le nourris toujours, monsieur ; je le nourris plus que jamais, aujourd'hui. (Avec amabilité.) Sans savoir, hélas ! si j'en serai plus gras ! –La parole de ce garçon est fleurie… – (79284)
  • Et si quelque chose peut me consoler de m'offrir ainsi à vous avec tout le sans gêne du débotté, c'est que les rigueurs de l'étiquette auraient retardé le bonheur que j'éprouve à me trouver au milieu de vous. – (au débotté)
  • Et si quelque chose peut me consoler de m'offrir ainsi à vous avec tout le sans gêne du débotté, c'est que les rigueurs de l'étiquette auraient retardé le bonheur que j'éprouve à me trouver au milieu de vous. TOURTEROT, à part. –Est-il devenu fadard ! – (fadard)
  • Sais-tu que nous t'attendons depuis ce matin… tu nous as fait droguer. – (droguer)
  • GÉLINOTTE. –Dis donc, je suis avoué ici. TOURTEROT, à part. –Ça un avoué… oh ! ce coquillage ! CÉSAR. –Mon compliment sincère. – (coquillage)
  • Quelle carnation ! ah ! méchant ! – (79286)
  • Il n'est pas encore bien à son gobelet, mais laissez-lui prendre son pivot… vous verrez comme il se met ! – (79287, 79288)
  • Décidément, il me gêne des entournures, ton avoué ! – (être gêné aux entournures)
  • Pauvre père ! voyez pourtant, monsieur, où peut conduire la contagion du mauvais exemple et les égarements de l'amour paternel… M. Tourterot était, il y a deux ans à peine, l'homme le plus naïf dans ses habitudes, le plus classique dans son langage… son fils, au contraire, était un étudiant aux manières débraillées, aux allures sans gêne… Un beau jour, l'un a déteint sur l'autre… Oui, monsieur, je dois l'avouer… mon père est aujourd'hui une sorte de miroir qui reflète, à ma honte, tout le décousu de ma vie passée… pardonnez-moi, je suis le seul coupable… – (déteindre)
  • Je fus absolument tout ce qu'il vous a dit que j'étais… mais, je me suis transformé… Ai-je gagné au change ?… il ne m'appartient pas d'en juger… – (47903)
  • TOURTEROT, entrant par la droite. –Ah ! ah ! encore ensemble ! (À Poupardin.) Eh bien, mais ça biche ! Il paraît que ça biche ! POUPARDIN. –Il m'a plu, je lui ai plu… et dès qu'un beau-père et un gendre se plurent… – (bicher)
  • Eh bien ! vrai, là… ce n'est pas parce que c'est mon fils, mais vous aurez là un gendre soignemuche ! – (soignemuche)
  • De quoi ?… vous voulez aussi ?… du flan ! – (du flan)
  • Il me bassine cet avoué ! (À César.) il me bassine ! –Mon père, ça ne se dit plus ! –Non ! Eh bien ! il me traquemarde !… (À Gélinotte.) Vous me traquemardez… voilà ! – (bassiner, 79290)
  • GÉLINOTTE, élevant la voix. –Mais mes trois pièces de coupé !… j'en serai donc pour mes frais… Un avoué !… ça ne se peut pas !… J'en appelle ! j'irai en cassation ! TOURTEROT. –Ne moussez donc pas comme ça, mon brave homme… faut se faire une raison… – (mousser, se faire une raison)
  • Faut en prendre son parti, mon cher, vous êtes fumé ! – (fumé)
  • Césarius !… où diable ai-je vu ce nom-là ? […] Oh ! mais, c'est ça !… j'y suis !… ces lettres que je viens de recevoir… (Tirant une lettre et regardant la signature.) « Césarius ! » eh ! justement !… – (j'y suis)
  • Il rit, le sans coeur ! (Sévèrement à César.) Est-ce que vous prétendez continuer long-temps cette balançoire ?… – (balançoire)
  • POUPARDIN. –Voyons ! monsieur, qu'avez-vous à dire ? CÉSAR. –Mais, c'est une chose toute simple ! CAMILLE et GÉLINOTTE. –Toute simple ! TOURTEROT. –Il est à mettre sous verre ! – (être à mettre sous verre)
  • en vous racontant, ce matin, l'histoire de mon passé… j'en ai oublié un chapitre… permettez-moi de le rétablir. TOURTEROT, avec humeur. –À toi la posse [sic], pousse ton dé. – (à toi la pose et pousse ton dé !)
  • –Je venais de passer ma thèse ; j'étais reçu docteur… il s'agissait de s'établir, de se former une clientèle… Un de mes amis était dans la même situation que moi… et, malgré trois mois d'efforts, de travail, d'activité, nous ne possédions pas un seul malade à nous deux. –Vous étiez des docteurs panés… quoi ! –Cela se comprend !… des jeunes gens, des garçons, ça n'inspire de confiance ni aux femmes, ni aux époux – (panné)
  • un beau jour, mon confrère se marie, il fait part de sa nouvelle position à tout Paris, et les cliens commencent à venir : ce résultat m'ouvrit les yeux, et, ma foi, j'épousai… –Ah !… –C'est-à-dire, j'inventai mademoiselle Follembuche… et le docteur Césarius, sans compromettre le célibataire César, eut soi de mettre tout le public dans la confidance de son bonheur… imaginaire. –Ah ! c'est une bonne banque, ça ! – (banque)
  • –À la bonne heure, voilà un mariage qui n'empêche pas… –De se marier. –Ah ! vieux bilboquet, va ! –Ce jeune homme a la triture des affaires ! –Vous verrez, papa, il fera son chemin. – (bilboquet, triture)
  • Votre défunte !… comment ! c'est là votre femme ? –Chouette, hein ? Voilà comme nous les épousions il y a vingt-six ans. – (chouette)
  • Jeune homme, votre âge ? –Comment ? –Un fier âge, allez, pour le conjungo… vingt-cinq ans aux chasselas. – (X ans aux chasselas)
  • POUPARDIN. –Juste ! Ah ! j'éprouve un je ne sais quoi !… (Il défaille). TOURTEROT, le soutenant. –Qu'est-ce qui lui prend ? – (53997)
  • Ma fille !… Au contraire, aimez-la, jeune homme, aimez-la toujours !… […] Mais quant à l'épouser, jamais ! –C'est trop fort ! – (c'est trop fort !)
  • depuis ce matin qu'il nous mécanise !… En voilà un oiseau !… – (mécaniser, oiseau)
  • GÉLINOTTE. Ça ! mais non ! (Bien accentué.) C'est maman ! TOUS. –Votre mère !… GÉLINOTTE. –J'ai la reconnaissance ! (Il se fouille.) TOURTEROT et POUPARDIN. –Hein ! GÉLINOTTE. –Madame Gélinotte !… autrefois maîtresse de poste à Châtellerault ! TOURTEROT [qui faisait croire que c'était son épouse], à part. –Je suis mordu ! POUPARDIN, à Tourterot. –Mais alors cette défunte n'était donc pas votre femme ? – (mordu)
  • POUPARDIN, allant à Gélinotte. –Voici mon gendre… mon gendre définitif ! TOURTEROT. –Hein ? (À part.) Ah ça ! mais c'est un vieux cheval de bois, il tourne toujours. – (79295, ah ça !)
  • –Mais alors cette défunte n'était donc pas votre femme ? –Eh ben, quoi ! une défunte d'occasion, là !… que j'ai épousée dans une vente pour sept francs… À qui que ça donne des engelures ? – (79296, quoi que X)
  • Jeune homme, votre âge ? […] –Moi… j'aurai vingt-cinq ans, comme César, aux vendanges ! – (X ans aux vendanges)
  • Vous savez bien cette aventure à Châtellerault. (Montrant Gélinotte.) C'est lui ! –Ah bah ! c'est là le tubercule ? – (79298)
  • Alors, la main aux dames… la mariée en tête, en avant les quilles ! Il ne faut jamais laisser refroidir… un notaire ! – (faire aller ses quilles)

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