bourré < être bourré >
Ivre, saoul (plutôt fortement)
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Ivre, saoul (plutôt fortement)
1981
L'était bourré comme un polack source : 1981. Le Père Noël noir
1980
–Ça y est les gars ! Nous v'là ! –Eh bien, c'est pas trop tôt ! Mais… ils sont bourrés ! –Ils ont dû faire la tournée des troquets ! source : 1980. Ricky Banlieue
1978
La dernière fois, j'étais complètement bourré, j'avais bu à peu près une bouteille de whisky dans la journée. Et puis encore quelques coupes de champagne… source : 1978. Les garçons de passe - Enquête sur la prostitution masculine
1979
Vous inquiétez pas, mes petits canards, c'est quand je suis bourré que je conduis le mieux à 140 ! source : 1979. Vive les vacances
1997
Disait-on déjà « bourré », ou « blindé » ? Si ces mots circulaient rue aux putes, ils n'avaient jamais en tout cas, sinon « schass », contemporain précisément des beaux jours du naturalisme, franchi, à ma connaissance, le seuil de l'hôtel de France source : 1997. L'aveu différé
2015
Quand il n'était pas bourré, c'était un père super. source : 2015. Je tape la manche
<6 citation(s)>
bourré existe depuis 1935
; c'est la plus ancienne date relevée à notre connaissance.
●● Bourré, ivre, « plein », pop., 1935 (DHAF) ●● Vers 1930 (MCC)
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