pain (depuis 1864) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

• 1977 Je regrette pas d'y avoir mis un pain source : 1977. Adieu minette
• 1985 Ma gamine y colle un pain par derrière source : 1985. Baby sitting blues
• 1904 La purge ! la purge ! s'écriaient deux ou trois tables, colle-lui un pain, Julot, aies pas peur source : 1904. La Maison Philibert
• 1946 et lui balançait à lui aussi un pain apparemment garanti sans ticket et pétri selon les règles source : 1946. Le cinquième procédé
• 1984 Vas-y Ricky, colle-lui un pain, il a dit que t'avais du flan dans les bras ! source : 1984. Ricky VII
• 2004 Les patrouilles de la PM se préoccupaient plus de coller des « pins » pour défaut de salut et mauvaise tenue qu'à châtier les lanceurs de grenades qui les allumaient presque à bout portant. source : 2004. Une guerre au couteau. Algérie 1960-1962, un appelé pied-noir témoigne
• 1903 c'est un rupin / Qui colle des paings / Aux salauds / Qui se moquent des dos. source : 1903. Les enracinées
• 2015 Je maintiens la pression, prolonge l'asphyxie et me mange un pain dans la mâchoire. source : 2015. Phi Prob
• 1989 il demande à Grand-Michel de le branler et Grand-Michel l'envoie chier, le traite d'enculé, dit qu'un jour il va s'envoyer ce connard et lui foutre un pain dans la gueule. source : 1989. Képas
• 1893 je veux à mon pékin de melon avoir la basane, et, pour cela il ne s'agit pas seulement de monter à zèbre sans prendre le pain source : 1893. L'argot de Saint-Cyr

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