Annonces surchoix (et amicales)
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(17xx) #compositionAssassiner, tuer un homme, égorger, assassiner (le propriétaire) ; (attaquer)
1828 J'aimerais mieux faire suer le chêne sur le grand trimard, que d'écorner les boucards source : 1828. Mémoires de Vidocq – Les voleurs
1828 Eh bien, dit le nommé Lancin, en s'adressant à l'un des acteurs de la scène tragique que je viens de rapporter, a-t-on fait suer le chêne ? source : 1828. Mémoires d'un forçat ou Vidocq dévoilé (tome premier)
1821 il a été butté pour avoir fait suer un chesne. source : 1821. Glossaire argotique des mots employés au bagne de Brest
1821 Il faut abbattre le Gaillet, chomir le Roulant et faire Suer le chesne. source : 1821. Glossaire argotique des mots employés au bagne de Brest
1857 en l'enterrant dans les genêts, si on vient à l'allumer, on croira que c'est quelque charlot qui aura fait suer le chêne. source : 1857. La femme du peuple, dans L'échelle des femmes
1844 Il y a trois reluis, j'ai fait suer un chêne. source : 1844. Dictionnaire complet de l'Argot employé dans les Mystères de Paris
17xx/1829 j'ai fait suer un chenne [j'ai tué un homme] lirlonfa malurette source : 17xx/1829. C'est dans la rue du Mail (fac-similé mss), dans Le dernier jour d'un condamné (1829)
1833 Un bandit qui a assassiné et qui s'attend à finir sur la place, publique s'écrie au milieu de ses camarades : L'abbaye de monte à regret m'attend ; qu'on me fauche le colas, j'ai fait suer le chêne sur le grand trimard. Traduction exacte : La guillotine m'attend ; qu'on me coupe le cou ; j'ai assassiné sur le grand chemin. source : 1833. Notice sur l'argot
<8 citation(s)>
faire suer un chêne existe depuis 17xx ; c'est la plus ancienne date relevée à notre connaissance.
●● J'ai fait suer un chêne, chanson, XVIIIe (DHAF)
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