coqueur (depuis 1829) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

Citations

• 1875 du jour au lendemain, de voleur de grandes routes qu'il était, il se fit coqueur, c'est-à-dire dénonciateur source : 1875. Paris, ses organes, ses fonctions et sa vie jusqu'en 1870
• 1829 on di que le petit lorrin decar avec nosiergue mes ge te previen que ge ne veu pas le frécanter car on dit que cet un coceur source : 1829. Mémoires d'un forban philosophe
• 1903 Il y a ici [en prison] une « coqueuse » que je voudrais bien lui dire quelques mots, mais ces rosses-là, ça se cache bien et on les connaît jamais. source : 1903. Les enracinées
• 1903 Je te fais parvenir deux mots pour te dire de prendre garde à la « Gambette » car c'est une « loppe » une « coqueuse ». Ce que tu lui as dit, elle l'a répété à la surveillante source : 1903. Les enracinées
• 1841 Ils disent d'un homme qui les trahit, qui les livre à la justice : C'est un coquin, un coqueur, un gueux, un mangeur, un homme qui a faim, qui mange sur quelqu'un, c'est-à-dire aux dépens de quelqu'un. Toutes ces variantes se lient étroitement entre elles par une commune origine. source : 1841. Les Prisons de Paris, par un ancien détenu
• 1844 Faut escarper les coqueures. source : 1844. Dictionnaire complet de l'Argot employé dans les Mystères de Paris

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