rouille (depuis 1836) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

• 1872 Je billanche la rouille [litre de vin] à la sorgue. source : 1872. Dictionnaire d'argot ou de jargue (4)
• 1951 J'en profite pour poser la question de confiance au taulier. C'est moi qui commande : une thune par rouille, ça va ? source : 1951. Mon taxi et moi
• 1955 des oeufs au bacon, une salade d'endives et un pot de confiture de fraises. Sans oublier une quille de Châteauneuf et une rouille de brut. source : 1955. Mollo sur la joncaille
• 1955 Marion, toute froufroutante et concurrençant les oiseaux, rayon babil, déboucha la rouille source : 1955. Des kilomètres de linceul (Les nouveaux mystères de Paris, 2e arrondissement)
• 1956 Je suis barbouillé comme si j'avais fait une java monstre… –Vous auriez pas une lichette à boire ? je demande au vieux violoniste. Il me dit : –Quoi ? –Boire… Un drink ! Un glass ! Un coup de rouille ! source : 1956. Fais gaffe à tes os
• 1963 du cidre et une rouille de bourgogne bien poudrée et prometteuse source : 1963. Satan est là
• 1969 Le soir, ils s'offrirent une bamboula maison. Les bouteilles de champagne défilaient comme les trains à la gare de St. Lazare. Entre deux rouilles, Lulu écrivit, de chez Tintin, à un pote de sa cellule. source : 1969. Les louchetracs
• 1976 Ce dernier avait porté près du lit une rouille de whisky et un verre. source : 1976. Histoire criminelle de Rafaël Mendoza
• 1976 Le concurrent placé face à la cible avait encore droit à son lancé et, s'il rebelotait du huit, la rouille de champagne exposée sur le petit frigidaire lui revenait. source : 1976. Histoire criminelle de Rafaël Mendoza

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