sale X & sale con ; sale brute ; sale tante ; sale con ; sale fric ; sale coin ; etc. #adjectif
Intensif devant insulte ou idée dépréciative
Annonce amicale : 30 jours pour jacter comme mézigue, de Sylvain Vanderesse, est paru.
Mots croisés et autres jeux à gogo.
Aux éditions de l'Opportun.
#adjectif
Intensif devant insulte ou idée dépréciative
1916
je suis dans le pays au bon vin mais il y en a plus et y a en revanche une tapée de sales Boches. [04/10/1915] source : 1916. Lettres de mon soldat (1915-1916)
1915
On n'est pas en paix : c'est la guerre, sacré bon Dieu ! Tout le monde s'embête ! –Personne autant que nous. / L'adjudant aurait voulu les voir morts sur place. Les nerfs à vif, il bredouilla ce que pensait le général : « Sales inaptes ! » source : 1915. Les soldats de la guerre : Gaspard
1990
nous nous faisons traiter de sales flics, de salauds, de brutes… source : 1990. Pickpockets ! Vingt ans de flagrant délit : un flic parle
1897
la faute d'un sale moutard ! source : 1897. Bistrouille et Jean Hiroux. Contes du Petit Pioupiou
1916
Alors, c'est encore nous qui protégeons la retraite ! Sale métier, déclare Millon, le tireur, un brave petit Parisien source : 1916. Avec une batterie de 75. Ma pièce. Souvenirs d'un canonnier. 1914
1976
Salaud ! Sale pourri merdeux ! source : 1976. Le petit bleu de la côte Ouest (Trois hommes à abattre)
2006
Carlo, garde ton sale fric. source : 2006. L'exequatur
1998
le Tafrent et ses alentours : un sale coin, accidenté et « mal fréquenté ». source : 1998. Section Bordel
1933
J'ai répondu que c'était bon pour les campagnardes d'avoir des tabliers à plis et des bas, qu'à Paris on savait mieux ce qui était beau que dans son sale Tréport. source : 1933. Puberté. Journal d'une écolière
1924
Laisse-moi, sale brute, tu m'fais mal ! source : 1924. Les dessous de Montmartre
1895
À l'aller, le matin, les wagons restent silencieux. Les yeux sont lourds de sommeil, les visages renfrognés. Personne ne parle. Parfois, des soupirs, des plaintes sur l'éternel recommencement des choses : « Encore une journée à tirer !… » Le soir, au retour, tout a changé […] le même sentiment de délivrance çà et là formulé à haute voix : « Encore une de tirée ! Quel sale métier ! » source : 1895. En plein faubourg
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1895
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1916
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