calvaire (depuis 1838) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

Citations

• 1993 apparemment heureux de s'en débarrasser et de mettre un terme à son calvaire source : 1993. Et l'expresso remplaça la bistouille
• 1976 On imagine son calvaire : quarante ans de barreau, trente années de vie parlementaire, l'accession au gouvernement, pour se retrouver au banc des prévenus source : 1976. Un septennat policier - Dessous et secrets de la police républicaine
• 1995 je travaillais à genoux… j'avais les rotules en sang… J'ai fini les fémurs rongés par le ciment. C'était mon chemin de croix… après, je t'ai rencontrée et ça a été le début de mon calvaire… Ça doit être le Diable qui t'a chiée sur mon chemin… source : 1995. Les pieds-bleus
• 1963 Que faire, chère Madame ? Cette situation [tous les hommes la désirent] est pour moi un calvaire. source : 1963. Les perles de Vénus
• 1963 C'est pour moi un vrai calvaire de vivre chez ma soeur avec mon beau-frère. C'est un sale type qui ne me trouve jamais rien de bien source : 1963. Les perles de Vénus
• 2007 chaque foulée tourne au calvaire et mon dîner d'hier marche à reculons. source : 2007. La gigue des cailleras
• 1977 Repartir avant l'aube a été un calvaire pour tous. Pas pour elle : les sacs et la chanson, et haut les coeurs ! source : 1977. Faut pas rire avec les barbares
• 1899 Sans prendre de repos ni de nourriture je pris le premier train pour Paris où j'espérais trouver une lettre de toi. Quel calvaire que ce retour ! étendue sur la banquette, j'étouffais mes sanglots, je ne voyais rien, je n'entendais rien, une seule pensée me martelait le cerveau : étais-tu à jamais perdu pour moi. source : 1899. Sous la casaque

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