gnard (depuis 1903) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

Citations

• 1952 J'aurais voulu savoir si ce gniard-là s'appelle Larbi ou Chalom figure-toi source : 1952. Une fille du tonnerre
• 1945 vous pouvez pas faire autre chose et laisser ce gnare tranquille ? source : 1945. Nestor Burma contre C.Q.F.D.
• 1956 Ils sont toujours une ribambelle de gnares, en pardingue et galurin, sur le seuil de chaque magasin, à faire la retape source : 1956. M'as-tu vu en cadavre ?
• 1955 qu'est-ce que j'vois dans le padoc, un gniart ! Aussitôt, j'm'apprête à faire la lutte source : 1955. Pas de pitié pour les caves
• 1954 Formidable qu'il est ce gniar-là. Je vais sur soixante-quinze piges et je l'ai toujours conoblé source : 1954. Rue des maléfices - Chronique secrète d'une ville
• 1954 Faites gaffe. Je ne connais pas – ou je ne connais pas trop bien – ces gniars-là. Il y a lieu de s'en méfier source : 1954. Rue des maléfices - Chronique secrète d'une ville
• 1953 Aussi vrai que je m'appelle Blankie, j'ai jamais parlé à ce gnard source : 1953. Alors, pommadé, tu jactes ?
• 1940 Si un soldat est bien couvert, c'est un « pèlerin ». Celui qui n'a peur de rien, on l'appellera un « solide », un « gniard drôlement gonflé », un « moustachu ». source : 1940. C'est la langue de la “riflette”
• 1925 y a rien à craindre ? –Que dalle ! l'gnare qui m'la donnée est parti en villégiature… très loin… source : 1925. Une petite belote

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