fleur (depuis 1895) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

• 1935 –T'as des ronds ? / Il m'inspirait confiance, mais je ne voulais pas me laisser taper. –J'ai cent sous, à peu près, répondis-je. –Je vois, t'es fleur. source : 1935. Viande à brûler
• 1948 je suis fleur et si j'étais pas venu la voir, elle s'en foutrait bien de savoir si je becte source : 1948. Ainsi soit-il
• 1949 Il s'est penché sur le planton. « Toi mon zoulou ! Mon tire au cul ! Si tu me reviens pas reconnu [de chez le médecin] ! Si tu retournes fleur de la visite ! c'est du sang que je te ferai vomir ! Je te ferai dégueuler ta vie ! Individu de vice ! » Il le prévenait gentiment. « Je t'attends à la sortie ! » source : 1949. Casse-pipe
• 1949 j'étais fleur comme une marguerite source : 1949. Un drôle de mec - Roman traduit de l'argot américain
• 1949 Je [ suis marron ] [ fleur sur le mot ] [ l'avais bon !] source : 1949. Casse-pipe (variantes)
• 1953 Pourvu que j'aille auprès d'ma petite poule tous les quinze jours, et que le patron de la cantine me fasse crédit que j'suis fleur, c'est tout ce que je demande source : 1953. Allons z'enfants
• 1953 Qui te paye ? –Eugène… –Menteur !… Il est fleur… –J'te jure !… Tous les mois, y va chercher le pognon pour lui et moi… source : 1953. Alors, pommadé, tu jactes ?
• 1955 J'aime mieux être payé tous les soirs… J'suis fleur ! source : 1955. Un certain Monsieur Jacques
• xxxx Vous m'obligeriez beaucoup en m'envoyant 80000 ou 100000 F sur ces premiers mille exemplaires – ou, si vous voulez, comme avance sur le 2^e mille. Car je suis fleur. Et j'ai besoin d'argent le plus vite possible [3/9/1957] source : xxxx. Lettres à Olga et Marc Barbezat

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