mon gros & mon pauvre gros (1854)
Terme de familiarité, appellatif très fam. (à gros, ou non), appellatif affectueux, amoureux
Annonce amicale : 30 jours pour jacter comme mézigue, de Sylvain Vanderesse, est paru.
Mots croisés et autres jeux à gogo.
Aux éditions de l'Opportun.
(1854)
Terme de familiarité, appellatif très fam. (à gros, ou non), appellatif affectueux, amoureux
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Surtout, mon gros, ne manque pas ton coup source : xxxx. Voilà, voilà la complainte de Lacenaire, dans Mémoires de Lacenaire, avec ses Poèmes et ses Lettres, suivis de Témoignages, Enquêtes & Entretiens présentés par Monique Lebailly
1937
Tu me plais. Allez, sois gentil, viens mon gros, c'est à deux pas d'ici, on va bien s'amuser tous les deux. source : 1937. Enquête sur la prostitution
1947
Toujours tes boniments ! Ah ! ça va ! N'en jette plus, mon gros ! T'es pas sincère, car tu exagères trop… source : 1947. Fleur-de-Poisse
1997
T'en fais pas, mon gros, c'est pas si grave que ça ! source : 1997. L'aveu différé
1936
Le blessé hurle encore. « On t'a secoué, mon pauvre gros, hein ? » La sueur coule à grosses gouttes sur son front. « Merci tout de même, les gars. […] » source : 1936. Hajde Prilep. Journal d'un poilu d'Orient
1914
« Eh ! dis voir un peu, la truffe, si ça vous guérit pas l'mal d'estomac, ma culture physique ? » Écarlate et vacillant, l'honorable défenseur du criminel Bichu conservait assez la notion de personnalité pour tenir encore à son rang dans l'échelle animale : « Tata… m'appelle pas la truffe ! –T'en es pourtant une vraie, mon gros ! –Peut-être… mais ça me chiffonne, que tu me le dises… » source : 1914. La grâce de Bichu, dans Racaille et parias
1914
et une pochette en vieux cuir fauve dont il dit, l'agitant vers son associé : « Ça, La Loche, on l'a cueilli dans lévite au ratichon… –Allume, mon gros !… Y aura pas lourd dedans… –On sait jamais, avec ces types-là ! » source : 1914. Passagers de choix, dans Racaille et parias
1965
« Tu as l'air fatigué, mon gros ! » me dit Rosita en me caressant la joue avec une de ces nuances maternelles que seules les putains savent avoir avec leur copain. source : 1965. Le Tigre aime la chair fraîche
1865
Quant aux aimables mandarines… –Glacées, n'est-ce pas ? Je les adore ; de chez Boissier, mon gros. –Voyons, Blanche… source : 1865. La question des biches
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1854
◊ Mémoires de Bilboquet, 1854 ; Villemot, La vie à Paris, 1856 (Enckell, DHPFNC)
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Bonjour. On trouve cette expression, entre autres dénominations affectueuses, chez Alhoy (Mémoires de Bilboquet, 1854). Le 2 avril 2022, Roland de L.