languefrancaise.net

Citations relevées dans “Fleur-de-Poisse” (1947)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Fleur-de-Poisse, avec l'entrée qui y est attachée.

  • Faute de grives, bouffons du merle ! riposta Georgette. On va guincher avec la T.S.F. – (faute de grives, on mange des merles)
  • Faute de grives, bouffons du merle ! riposta Georgette. On va guincher avec la T.S.F. – (guincher)
  • Tous ces gens-là n'étaient pour lui que des caves, des arriérés, des ramollis. – (ramolli)
  • Le speaker annonça un « bulletin d'informations », auquel on renonça, d'un accord unanime. Benito ferma l'appareil [une TSF]. – (68909)
  • Une longue cicatrice, récoltée en quelque bagarre, sillonnait sa joue gauche, ce qui la faisait surnommer par quelques-uns « la Balafrée ». – (68910)
  • C'était rudement bon de se dégourdir les jambes de temps en temps. – (rudement)
  • C'était rudement bon de se dégourdir les jambes de temps en temps. Malheureusement, Benito n'était pas toujours disposé à la conduire au bal et elle le regrettait amèrement. – (se dégourdir)
  • si on la laissait faire, elle danserait pendant des heures – et elle m'casserait les patt' ! – (casser les pattes)
  • Vous me faites rire, les amis ! Moi qui vous prenais pour des affranchis… je vois que vous êtes de vrais tyrans, aussi jaloux et aussi dominateurs que des bourgeois ! – (affranchi)
  • S'il encaissait de pareils affronts sans rien dire, c'était un être méprisable, une loque. – (loque)
  • S'il encaissait de pareils affronts sans rien dire, c'était un être méprisable, une loque. – (encaisser)
  • Mariré, la copine de La Poigne, l'a plaqué il y a quelque temps et il ne l'a pas digéré. C'est un violent et ça fera du vilain. – (plaquer)
  • Mariré, la copine de La Poigne, l'a plaqué il y a quelque temps et il ne l'a pas digéré. C'est un violent et ça fera du vilain. – (digérer)
  • Mariré, la copine de La Poigne, l'a plaqué il y a quelque temps et il ne l'a pas digéré. C'est un violent et ça fera du vilain. – (du vilain)
  • Vous préférez vous laisser exploiter vous-même, aller bosser à l'usine, comme un cave ! – (cave)
  • il en fallait à présent du pognon, au prix où étaient les restaurants et le marché noir ! – (marché noir)
  • Il faut l'excuser, car son amie l'a lâché, il n'y a pas longtemps. – (lâcher)
  • j'ai été sous-maîtresse dans une taule de la rue du Château d'Eau, avant de tenir mon petit bar du faubourg Montmartre. – (taule)
  • On ne doit pas aller sur les brisées d'un pote, on ne doit pas lui prendre sa femme, ni son argent. C'est une question de conscience... – (marcher sur les brisées de)
  • Lui, il ne voudrait pas que sa Suzu fasse le bizenesse, étant donné qu'il gagnait suffisamment sa vie et qu'il voulait l'avoir à lui tout seul. – (bizenesse)
  • ne tarda pas à être étroitement plaquée contre lui. Il sentait ses seins s'écraser contre sa poitrine. C'était une fausse maigre, dont il ne tarda pas à connaître tous les charmes, car ses jambes, ses genoux le frôlaient et le pénétraient sans arrêt. – (fausse maigre)
  • Cri-Cri (dans l'intimité) n'était pas de ceux « qui se laissent aller », comme on dit. – (68915)
  • Toujours tes boniments ! Ah ! ça va ! N'en jette plus, mon gros ! T'es pas sincère, car tu exagères trop… – (mon gros)
  • Toujours tes boniments ! Ah ! ça va ! N'en jette plus, mon gros ! T'es pas sincère, car tu exagères trop… – (n'en jetez plus)
  • Ils nous barbent avec leurs tickets et leurs restrictions. C'est pas une vie, ça… – (barber)
  • Ils nous barbent avec leurs tickets et leurs restrictions. C'est pas une vie, ça… – (ce n'est pas une vie !)
  • Tu en parles à ton aise, gros Cri-Cri. Car enfin, entre nous, t'es riche et t'en fous pas lourd. T'es directeur dans les Assurances et tu gagnes gros, sans t'la fouler. – (ne pas en ficher lourd)
  • Tu en parles à ton aise, gros Cri-Cri. Car enfin, entre nous, t'es riche et t'en fous pas lourd. T'es directeur dans les Assurances et tu gagnes gros, sans t'la fouler. – (ne pas se fouler)
  • Tu en parles à ton aise, gros Cri-Cri. Car enfin, entre nous, t'es riche et t'en fous pas lourd. T'es directeur dans les Assurances et tu gagnes gros, sans t'la fouler. – (gros)
  • ne se dévouait-il pas, depuis trois ans déjà, à la beauté de Mlle Marie-Reine Olivier, dite Mariré, dont le charme l'avait ensorcelé – (Mariré)
  • On dit souvent que les yeux sont « le miroir de l'âme ». – (63736)
  • Quand tu r'viendras m'prendre, ta p'tite femme sera prête et l'on partira illico-presto. – (illico presto)
  • On prétend que les jolies femmes sont lentes à s'habiller. Mariré fit mentir, ce matin-là, cette célèbre formule. – (68917)
  • C'est pas un' raison pour m'coller la porte au blair ! – (coller la porte au blair)
  • Tu sais bien qu'il est très jaloux, l'vieux. Il me les lâche, mais pour la peine, y veut m'avoir à lui tout seul. – (les lâcher)
  • Constant, dit La Poigne, ne put s'empêcher de se taper bruyamment sur les cuisses, en riant avec une incrédulité totale. – (se taper sur les cuisses)
  • Allons donc ! Tu lui diras que j'suis ton frangin, la môme ! – (môme)
  • –Ma parole, t'es follingue ! –Pas du tout. Pige-moi ! J'me suis renseigné. Ce typ'-là est plein d'pèze et tu n'arriveras jamais à lui en soutirer suffisamment à toi toute seule. – (follingue)
  • –Ma parole, t'es follingue ! –Pas du tout. Pige-moi ! J'me suis renseigné. Ce typ'-là est plein d'pèze et tu n'arriveras jamais à lui en soutirer suffisamment à toi toute seule. – (piger)
  • –Ma parole, t'es follingue ! –Pas du tout. Pige-moi ! J'me suis renseigné. Ce typ'-là est plein d'pèze et tu n'arriveras jamais à lui en soutirer suffisamment à toi toute seule. – (pèze)
  • On f'rait du fric en masse. Et t'aurais ta part, bien entendu. – (68209)
  • j'te jure que j'suis tout à fait décidée à n'pas tremper dans tes combines. – (tremper)
  • j'te jure que j'suis tout à fait décidée à n'pas tremper dans tes combines. […] –Madam' pose à l'honnête ! Madam' s'embourgeoise ! Madam' s'croit déjà duchesse ! – (poser)
  • Pas d'blabues, Riré ! Ça n'prend pas. J'suis parfait'ment rencardé sur ton emploi du temps et j'sais qu'ton type, qui est marié, ne peut t'consacrer qu'deux jours par semaine au maximum. – (Riré)
  • Pas d'blagues, Riré ! Ça n'prend pas. J'suis parfait'ment rencardé sur ton emploi du temps et j'sais qu'ton type, qui est marié, ne peut t'consacrer qu'deux jours par semaine au maximum. – (prendre)
  • Pas d'blabues, Riré ! Ça n'prend pas. J'suis parfait'ment rencardé sur ton emploi du temps et j'sais qu'ton type, qui est marié, ne peut t'consacrer qu'deux jours par semaine au maximum. – (de la blague)
  • Pas d'blabues, Riré ! Ça n'prend pas. J'suis parfait'ment rencardé sur ton emploi du temps et j'sais qu'ton type, qui est marié, ne peut t'consacrer qu'deux jours par semaine au maximum. – (rancarder)
  • J'compte sur toi. Si tu manquais, je l'fâcherai, j'te préviens et ça barderait. – (barder)
  • Il lui avait déniché, dans la rue de Bucarest, un petit appartement meublé, très intime. – (dénicher)
  • Cri-Cri était un esprit timoré, esclave du « qu'en dira-t-on ». – (qu'en-dira-t'on)
  • Voyez-vous l'animateur des Chevaliers de Saint Louis conduit au poste en compagnie du « maquereau » La Poigne, pour les beaux yeux d'une fille soumise dont ils se disputaient les faveurs… – (63989)
  • tandis que le vieux du Thillay pérorait à son bras, fier comme un jeune coq, jubilant à chaque fois qu'il surprenait les regards des passants à sa jeune maîtresse. – (fier comme un jeune coq)
  • Effectivement, elle ne s'était pas posé la question – et pour cause ! – (et pour cause !)
  • Et puis tant pis, s'il fallait reprendre le collier, retourner au « bizeness », elle ne serait pas la seule, elle n'en mourrait pas. – (prendre le collier)
  • Et puis tant pis, s'il fallait reprendre le collier, retourner au « bizeness », elle ne serait pas la seule, elle n'en mourrait pas. – (68922)
  • Et puis tant pis, s'il fallait reprendre le collier, retourner au « bizeness », elle ne serait pas la seule, elle n'en mourrait pas. – (bizenesse)
  • Pourvu qu'il n'aille pas, sous l'influence des bons vins, se mettre à jacter sans prudence ! – (jacter)
  • Approuver des propos ronflants, ça pouvait aller, mais s'enrôler et partir en Allemagne, c'était différent – (ronflant)
  • Célestin fut consterné, en voyant que la discussion allait revenir sur le tapis. – (sur le tapis)
  • Ils nous ont tendu la main, oubliant nos torts, nos crimes – (68923)
  • Mariré n'attachait aucune importance sentimentale à cette appellation. Quand elle « travaillait » rue de Chateaudun, n'avait-elle pas l'habitude d'appeler indistinctement tous les clients « mon chou », y compris ceux […] qu'elle n'avait jamais vus – (mon chou)
  • En tout cas, je n'irai pas me faire casser la gueule pour vos amis les Frisés ! – (Frisé)
  • Le mot « trop vieux », cinglant Cri-Cri comme un soufflet, eût suffi, à lui seul, à faire déborder la coupe des humiliations, en présence surtout de sa jeune maîtresse. – (faire déborder la coupe)
  • Ce freluquet gaulliste espérait sans doute lui tourner la tête et la séduire… – (tourner la tête)
  • Ah ! ma p'tite Marie ! J'suis rud'ment contente de t'voir ! Que deviens-tu, vilaine lâcheuse ? – (lâcheur)
  • Com' t'es gironde ! Quel amour ! On t'croquerait ! – (gironde)
  • Com' t'es gironde ! Quel amour ! On t'croquerait ! – (à croquer)
  • Tout l'monde est à l'affût d'une combine… surtout en c'moment ! Tout l'monde n'a pas la veine d'être rentière, com' toi… – (combine)
  • Elle entra donc, sans plus tarder, dans le vif de son sujet, commençant d'abord par déclarer qu'elle n'était pas aussi rupine qu'on pourrait l'insinuer. – (rupin)
  • Elle entra donc, sans plus tarder, dans le vif de son sujet, commençant d'abord par déclarer qu'elle n'était pas aussi rupine qu'on pourrait l'insinuer. – (68924)
  • Il n'était guère facile de faire casquer un vieux pingre. – (casquer)
  • Il n'était guère facile de faire casquer un vieux pingre. – (pingre)
  • Et d'autre part, en échange de son pèze, il fallait supporter ses manies, sa jalousie, sa canulante présence ! – (canulant)
  • Et encore… tu n'as pas fait les maisons d'abatage. Trente clients dans une soirée ! Des fois même cinquante ou soixante ! C'est terrible. Moi, j'connais tout ça. J'ai fait la province et même le Maroc. – (maison d'abattage)
  • J'ai dû, un'fois, rue de Lappe, m'appuyer soixante-dix types dans une soirée, un samedi. Tu parl' d'un sport ! Heureus'ment que j'étais costaud… – (appuyer)
  • J'ai dû, un'fois, rue de Lappe, m'appuyer soixante-dix types dans une soirée, un samedi. Tu parl' d'un sport ! Heureus'ment que j'étais costaud… – (tu parles !)
  • Elle ne voulait pas se remettre avec La Poigne, mais elle ne voulait pas non plus affronter ses représailles. – (se mettre avec)
  • Comprends-moi bien, chérie. Tu t'es mise dans ton tort, en l'plaquant com' ça. C'est pas régulier. – (régulier)
  • Y m'brutalisait tout l'temps. Il avait même une autre femme, un « doublard », qui travaillait pour lui. – (doublard)
  • Il y a des mecs [souteneurs] qui s'donnent du mal pour dégourdir un'fem' et qui dépensent beaucoup d'fric pour la lancer. – (dégourdir)
  • Il y a des mecs [souteneurs] qui s'donnent du mal pour dégourdir un'fem' et qui dépensent beaucoup d'fric pour la lancer. – (lancer)
  • Tu peux bien soutirer quelques billets à ton vieux, en lui racontant une blague quelconque. – (blague)
  • Tu peux encore lui dire que t'as perdu ton sac à main, avec tout ton flouze… – (flouse)
  • Tu dîneras avec nous. Ça t'changera les idées. – (68925)
  • On irait place Blanche, dans un restaurant ultra-chic, et l'on ne s'embêterait pas. – (ultra-)
  • On irait place Blanche, dans un restaurant ultra-chic, et l'on ne s'embêterait pas. – (ne pas s'embêter)
  • La petite maîtresse de M. du Thillay n'était pas taillée pour la résistance. – (être taillé)
  • Georgette était trop avisée pour s'afficher dans la rue avec des Allemands. – (s'afficher)
  • Qui aurait supposé, devant un pareil menu, que des centaines de milliers de Parisiens, ce soir-là, serraient douloureusement leur ceinture et devaient se contenter de quelques légumes dépourvus de toute matière grasse – (se serrer la ceinture)
  • Tout à coup, Georgette proposa de danser. On s'endormait ! Fallait se secouer un peu ! – (se secouer)
  • Karl aidait Georgette à remonter le phono et il en profitait pour fourrager sous ses jupes. – (37504)
  • Vous me trouvez bête, hein ? Un peu godiche ? – (godiche)
  • On leur met tout sur le dos. S'il n'y a pas de pinard, c'est de leur faute ! Si les rations de beurre ou de viande sont insuffisante, c'est encore de leur faute. – (sur le dos)
  • Comme tout le monde, elle rouspétait à l'occasion, car le Parisien est né rouspéteur. Mais elle ne dramatisait rien. – (rouspéteur)
  • –Tu crois vraiment qu'les Allemands gagneront la guerre ? / Un tel doute, si négligemment qu'il fût exprimé, siffusait à remuer la bile de Cri-Cri. – (remuer la bile)
  • Il lui faudrait encore entrer en « maison ». – (maison)
  • son frangin était bien gentil. Pas méchant pour un centime, mais incapable d'une résolution ou d'un effort. – (pas X pour un centime)
  • –Tout d'même ! fit-il en la voyant arriver. Te v'là ! Tu y as mis d'la réflexion… – (tout de même !)
  • Tu n'vas pas m'dire que tu aimes ce vieux cornichon ? Sans blague ! – (cornichon)
  • Tu n'vas pas m'dire que tu aimes ce vieux cornichon ? Sans blague ! – (sans blague)
  • Qu'il te les lâche, c'est naturel – et j't'approuve de lui faire la comédie pour lui en extraire le plus possible. – (jouer la comédie)
  • Il avait toujours proclamé qu'avec les femmes de larges épaules valent cent fois mieux que les discours des plus « bath ». – (bath)
  • T'as du fric, t'as des nippes et même des perlouzes. – (perlouze)
  • faut penser à plus tard, j'te répète. Ce vieux j'ton-là, y vivra pas toujours. Dans un an ou deux, y va clam'ser ! – (vieux jeton)
  • faut penser à plus tard, j'te répète. Ce vieux j'ton-là, y vivra pas toujours. Dans un an ou deux, y va clam'ser ! – (clamser)
  • t'es une chouette môme et qu'avec tes beaux châsses tu chavir' tous les gonzes. – (châsse)
  • t'es une chouette môme et qu'avec tes beaux châsses tu chavir' tous les gonzes. – (chavirer)
  • Ton vieux beau est plein aux as. J'veux m'arranger pour lui faire un fric-frac à la hauteur. – (plein aux as)
  • Ton vieux beau est plein aux as. J'veux m'arranger pour lui faire un fric-frac à la hauteur. – (à la hauteur)
  • Sûrement qu'j'irai pas emmerder une chic p'tite maquée com' toi, pour t'carotter quèque fafiots – (être maquée)
  • T'auras rien à faire qu'à m'donner des tuyaux, pour que j'puisse faire mon boulot chez lui, en pénard. – (peinard)
  • Cependant, le cambrioler, le dépouiller, lui faire un mauvais coup, c'était grave. – (cambrioler)
  • Cependant, le cambrioler, le dépouiller, lui faire un mauvais coup, c'était grave. Ça pouvait mener loin. La prison, le bagne… qui sait ? – (mener loin)
  • elle avait passé huit jours à la boîte, s'étant fait ramasser bêtement dans une rafle, parce qu'elle n'était pas en règle. – (ramasser)
  • elle frissonnait en pensant aux « poulets » grossiers, au juge méprisant, à la nourriture infecte, à la discipline injurieuse. – (poulet)
  • Et puis j'ai tel'ment envie de toi. Une envie à en perdre la boule. – (perdre la boule)
  • Tu crois que j'me laisserai fout' de moi ? Tu m'prends donc pour un con ? – (con)
  • Michel avait conduit Mariré dans un petit bougnat voisin de la place Dancourt. En absorbant une tasse de café, elle s'était remise de ses émotions. – (bougnat)
  • Michel avait conduit Mariré dans un petit bougnat voisin de la place Dancourt. En absorbant une tasse de café, elle s'était remise de ses émotions. Le bistro lisait son journal au comptoir – (bistrot)
  • il arriva juste à temps pour lui donner un croc-en-jambe. La Poigne s'allongea à côté du trottoir, entraînant dans sa chute un cycliste et son vélo. – (23488)
  • il arriva juste à temps pour lui donner un croc-en-jambe. La Poigne s'allongea à côté du trottoir, entraînant dans sa chute un cycliste et son vélo. – (s'allonger)
  • Vous avez été chic ! Sans vous, il m'aurait sûr'ment rattrapée et j'aurais passé un mauvais quart d'heure ! – (passer un sale quart d'heure)
  • Oui, vous avez été bien chic, car il aurait pu vous fair' un mauvais parti. – (68513)
  • il ne tenait pas à avoir des ennuis avec la police, étant donné qu'il était, pour le quart d'heure, dans une situation assez irrégulière. – (pour le quart d'heure)
  • vous étiez accompagnée d'un vieux mufle qui voulait me faire embarquer parce que j'étais contre les Fridolins. – (fridolin)
  • Seul un coeur de granit aurait pu résister à cette avalanche d'arguments. – (68928)
  • Elle l'avait quitté, car elle ne l'aimait plus. […] Mais il l'importunait, il la relançait, voulant l'obliger à retourner à toute force avec lui. – (relancer)
  • Constant était un sale type, qu'il la battait, que c'était un fainéant et qu'il jouait aux courses. – (sale type)
  • Comme on fait de sottises, quand on est jeune et naïve, comme c'était son cas ! Comme on se laisse entortiller et berner bêtement ! – (entortiller)
  • Tout bien réfléchi, c'était la seule issue. – (68929)
  • Nous nous mettrons en ménage et alors, je vous jure que si votre Constant veut s'y frotter, il trouvera à qui parler. – (trouver à qui parler)
  • Nous nous mettrons en ménage et alors, je vous jure que si votre Constant veut s'y frotter, il trouvera à qui parler. – (s'y frotter)
  • Il [le souteneur] n'était pas jaloux de Cri-Cri, simple micheton. Il n'en serait pas de même pour Michel, amant de coeur. – (micheton)
  • Il [le souteneur] n'était pas jaloux de Cri-Cri, simple micheton. Il n'en serait pas de même pour Michel, amant de coeur. – (amant de coeur)
  • Pourquoi ne pas lui monter un bateau, à ce vieux Cri-Cri ? À l'avance, il était tout joyeux à la pensée de le mystifier. – (monter un bateau)
  • On reçoit un télégramme. Il faut partir de suite pour arriver avant que cette pauvre vieille ait rendu son âme au bon Dieu. – (rendre l'âme)
  • Une fois là-bas, quoi de plus facile que de prolonger le séjour en inventant des blagues. – (blague)
  • Le bougnat s'était de nouveau assoupi sur son numéro des Nouveaux Temps. – (bougnat)
  • il s'adresse à une jeune femme, à la figure rougeaude et aux bras nus – (34767)
  • Benito […] était probablement un « dur », lui aussi. Très large et râblé, comme La Poigne, il avait cependant un regard moins sinistre. – (dur)
  • T'es bien certain d'pas t'tromper ? C'est bien elle que t'as vue ? –Puisque j'te le dit ! J'ai pas la berlue… – (berlue)
  • Elle était avec un jeune blanc-bec, qui paraissait aux petits soins pour elle. – (être aux petits soins pour)
  • Entre hommes d'ailleurs, on doit se soutenir, étant donné qu'avec les femmes les emmerdements et les dangers sont continuels. – (emmerdement)
  • Mariré lui avait donné déjà pas mal de fil à retordre, mais il finirait bien par la dresser. Patience ! – (28458)
  • Il avait plutôt l'air un peu bourgeois, un peu artisse. Y n'avait pas l'allur' d'un affranchi. Peut-être un de ces caves qui veulent poser au marle ? – (artisse)
  • Il avait plutôt l'air un peu bourgeois, un peu artisse. Y n'avait pas l'allur' d'un affranchi. Peut-être un de ces caves qui veulent poser au marle ? – (poser)
  • Il avait plutôt l'air un peu bourgeois, un peu artisse. Y n'avait pas l'allur' d'un affranchi. Peut-être un de ces caves qui veulent poser au marle ? – (marle)
  • Quant à connaître le but de leur voyage, macache. Ils avaient pris le train de Toulouse. C'est tout ce que Benito pouvait dire. – (macache)
  • J'trouverai bien des copains qui m'mettront sur la voie. Et tu peux croire que, c'jour-là, ça bardera ! – (je vous prie de le croire)
  • On ne doit pas se laisser manquer par une femme. Supporter une pareille injure sans en tirer vengeance, ce serait une vraie déchéance pour un homme digne de ce nom. – (manquer)
  • Tout le monde le prendrait pour un con, un paillasson, une loque. – (68931)
  • Même si la vengeance devait le conduire au bagne ou à la mort, un « Homme » ne devait pas reculer. – (homme)
  • J'me rencarderai d'ces côtés-là, conclut La Poigne. J'trouverai bien des copains qui m'mettront sur la voie. – (mettre sur la voie)
  • En principe, j'suis d'accord, j'suis toujours d'accord pour un coup dur. […] Tu m'as dit qu'c'était une affaire politique. J'aime pas beaucoup ça… – (coup dur)
  • c'est dangereux, parce qu'on a affaire à des andouilles qui n'sont pas de la partie – (être de la partie)
  • La Poigne voulut placer un mot, mais Benito poursuivait – (placer un mot)
  • butter des Juifs ou des communiss', ou des gens comm' ça. – (communiss')
  • Et qu'est-ce que ça leur a rapporté ? Pas grand-chose, mon vieux, pas grand-chose. Des crottes... Des clous... – (des crottes)
  • Et qu'est-ce que ça leur a rapporté ? Pas grand-chose, mon vieux, pas grand-chose. Des crottes… Des clous… – (des clous)
  • C'boulot-là ! C'est bon pour des miliciens ! des « volontaires » ! Des mecs à la noix, des emmanchés, des p'tits cons qui sont bons à rien – (emmanché)
  • C'boulot-là ! C'est bon pour des miliciens ! des « volontaires » ! Des mecs à la noix, des emmanchés, des p'tits cons qui sont bons à rien, qui tiennent même pas d'bout et qui veulent crâner, qui posent au mariolle. – (poser)
  • J'aime le grand turbin, mêm' dang'reux, mais qui rapporte gros. Alors ça, j'marche. Mais pour m'embaucher dans un' bande de miteux et d'tordus, qu'les Boches font marcher pour cinquant' balles par jour, très peu pour moi – (turbin)
  • J'aime le grand turbin, mêm' dang'reux, mais qui rapporte gros. Alors ça, j'marche. Mais pour m'embaucher dans un' bande de miteux et d'tordus, qu'les Boches font marcher pour cinquant' balles par jour, très peu pour moi – (très peu pour moi)
  • J'aime le grand turbin, mêm' dang'reux, mais qui rapporte gros. Alors ça, j'marche. Mais pour m'embaucher dans un' bande de miteux et d'tordus, qu'les Boches font marcher pour cinquant' balles par jour, très peu pour moi – (tordu)
  • J'aime le grand turbin, mêm' dang'reux, mais qui rapporte gros. Alors ça, j'marche. Mais pour m'embaucher dans un' bande de miteux et d'tordus, qu'les Boches font marcher pour cinquant' balles par jour, très peu pour moi – (miteux)
  • J'aime le grand turbin, mêm' dang'reux, mais qui rapporte gros. Alors ça, j'marche. Mais pour m'embaucher dans un' bande de miteux et d'tordus, qu'les Boches font marcher pour cinquant' balles par jour, très peu pour moi – (marcher)
  • Il commença par déclarer qu'il était tout à fait de son avis au sujet de ces hommes de main, qui s'enrôlaient dans les mouvements de la Révolution nationale, faisant sauter des maisons, commettant des pillages et même des assassinats – (homme de main)
  • S'il y avait eu vraiment du risque, ils se seraient tous dégonflés comme les foireux. – (se dégonfler)
  • Pourquoi ne pas monter un bon coup, rapportant gros, en exploitant les circonstances politiques du moment ? – (monter un coup)
  • Au fond, on se foutait du Maréchal autant que de de Gaule, des Boches autant que des Yankees ou des Angliches, des Youpins autant que des calotins – (Yankee)
  • Au fond, on se foutait du Maréchal autant que de de Gaule, des Boches autant que des Yankees ou des Angliches, des Youpins autant que des calotins – (angliche)
  • Au fond, on se foutait du Maréchal autant que de de Gaule, des Boches autant que des Yankees ou des Angliches, des Youpins autant que des calotins – (youpin)
  • Au fond, on se foutait du Maréchal autant que de de Gaule, des Boches autant que des Yankees ou des Angliches, des Youpins autant que des calotins – (calotin)
  • Le principal, c'était de se démerder, de faire de la braise, dans les meilleures conditions. – (braise)
  • Il ne s'agissait pas de marcher sous les ordres d'un comité, ou d'une ligue quelconque. Foutre non ! – (foutre !)
  • Un vieux richard, qu'on pourrait amadouer en se présentant comme des partisans de Pétain. Il serait alors facile de l'avoir à la bonne. – (avoir à la bonne)
  • Ça vaudrait la peine. Un gros paquet, cent cinquante ou deux cent mille, qu'ils se partageraient loyalement. – (paquet)
  • ce vieux micheton était tellement tarte qu'il tomberait tête baissée dans la combine. – (tarte)
  • ce vieux micheton était tellement tarte qu'il tomberait tête baissée dans la combine. – (tomber dans la combine)
  • En le pelotant un peu, car il se prenait pour un gonze de haute importance et aimait la flatterie – (peloter)
  • Mon gros chou chéri, Je t'écris, ainsi que je te l'avais promis, pour te donner de mes nouvelles qui sont bonnes. – (mon chou)
  • Je me porte bien, sinon que je m'ennuie à trois cents francs de l'heure, au moins ! Le temps me semble long. – (s'ennuyer à trois cents francs de l'heure)
  • On dirait qu'il y a une éternité que je ne t'ai pas vu – (une éternité)
  • J'espère que tu ne t'ennuies pas trop, mon gros loup ? – (mon loup)
  • Mais ma pauvre tante pleure comme une Madeleine dès que je parle de m'en aller ! – (pleurer comme une madeleine)
  • Nous [les vieux] savons aussi les gâter, nous les attacher par des douceurs, des gentillesses, dont les « jeunots » n'ont pas la moindre idée. – (jeunot)
  • Mon chou, j'oubliais de te dire que je n'avais plus le sou, j'ai tout dépensé, j'ai des frais énormes. – (ne plus avoir le sou)
  • Il serait « radin » avec d'autres, mais pas avec sa Mariré… Du reste, il avait les reins solides, Dieu merci ! Sa situation, ses moyens, lui permettaient de tenir son rang… – (radin)
  • Il serait « radin » avec d'autres, mais pas avec sa Mariré... Du reste, il avait les reins solides, Dieu merci ! Sa situation, ses moyens, lui permettaient de tenir son rang... – (avoir les reins solides)
  • Et de la rosette rouge, brillant sur sa poitrine comme une tache de sang. Voilà qui en bouchait un coin au vulgaire… – (en boucher un coin)
  • Mais il faut bien que vieillesse se passe, sacrebleu ! Je suis encore vert, très vert. – (68937)
  • Mais il faut bien que vieillesse se passe, sacrebleu ! Je suis encore vert, très vert. – (vert)
  • Les acclamations du peuple ! Les discours pompeux ! Ovations, pommade, coups d'encensoir... – (donner des coups d'encensoir)
  • Mon pauv' petit ! T'as rien l'air abruti, c'matin… Inutile de d'mander si t'as fait la bringue, cette nuit ! – (bringue)
  • Mon pauv' petit ! T'as rien l'air abruti, c'matin… Inutile de d'mander si t'as fait la bringue, cette nuit ! – (c'est rien X)
  • son visage se durcit et elle informa Le Parfumeur que sa visite était extrêmement sérieuse. Elle n'était pas venue pour blaguer. – (blaguer)
  • Georgette, femme prudente, désignait les murs de la chambre, ainsi que la porte par où elle venait d'entrer, demandant à son jeune interlocuteur, en clignant un oeil méfiant, si l'on pouvait jaspiner en toute tranquillité. – (jaspiner)
  • Hum… Tu sais… Faut pas trop s'y fier ! – (hum)
  • Des baisers, des cris, des coups de sommier à n'en plus finir. Et après… c'est l'robinet qui coulait, l'siphon d'l'eau courante qui glougloutait. Ça n'en finissait plus. Quelle barbe ! – (la barbe !)
  • Il fallut un certain temps à Célestin pour prendre connaissance de ce long article, qui occupait presque entièrement la première page du journal. –En voilà un fourbi ! soupira-t-il. – (fourbi)
  • Si t'as des affaires à planquer, faut l'faire tout d'suite. De la neige, par exemple ? Des faffes à la noix ? Des fausses cartes d'identité ou de ravitaillement ? – (neige)
  • Si t'as des affaires à planquer, faut l'faire tout d'suite. De la neige, par exemple ? Des faffes à la noix ? Des fausses cartes d'identité ou de ravitaillement ? – (faffes à la noix)
  • Si t'as des affaires à planquer, faut l'faire tout d'suite. De la neige, par exemple ? Des faffes à la noix ? Des fausses cartes d'identité ou de ravitaillement ? Ou même de la cam' pour le marché noir ? Faut tout mettre en lieu sûr. – (came)
  • Et Mariré, dans son logement, tu crois pas qu'les poulards puissent y trouver des trucs compromettants ? – (poulard)
  • Quant à Cri-Cri, crois-moi, Georgette, c'était un vieux conot, un vantard, une vraie tête de cocu. – (connaud)
  • Quant à Cri-Cri, crois-moi, Georgette, c'était un vieux conot, un vantard, une vraie tête de cocu. – (68940)
  • Quant à Cri-Cri, crois-moi, Georgette, c'était un vieux conot, un vantard, une vraie tête de cocu. Si l'Maréchal n'a qu'des gens com' ça pour sauver la France, c'est à s'les taper sur la pierre à évier ! – (à se les taper sur la pierre à évier)
  • Un gaga, qui tympanisait les gens avec Jeanne d'Arc, Clovis et Napoléon ! – (gaga)
  • Une petite cour, entourée de hauts murs et triste à pleurer. – (à pleurer)
  • À c't'heure-ci, j'ai toujours pas mal de boulot. – (pas mal)
  • dans la vie, y faut s'défendre, surtout quand on commence à avoir du poids... – (avoir du poids)
  • le vois-tu aller butter quelqu'un, même un vieux lard comme Cri-Cri ? – (68943)
  • Ce n'était certainement pas le cas du Parfumeur. Il était toujours resté à l'écart des coups durs. C'était plutôt un bricoleur, ce gosse-là. – (bricoleur)
  • l'influence de sa soeur l'avait en partie préservé, car elle veillait maternellement sur lui et n'aurait pas voulu, pour rien au monde, qu'il aille au ballon. – (ballon)
  • Allons, sois raisonnable. Tu sais bien qu'j'ne suis pas homme à me l'laisser mettre. Faut pas m'contrarier, ni m'faire des vacheries ; ça pourrait tourner mal… – (le mettre)
  • Allons, sois raisonnable. Tu sais bien qu'j'ne suis pas homme à me l'laisser mettre. Faut pas m'contrarier, ni m'faire des vacheries ; ça pourrait tourner mal... – (68944)
  • Pour qui m'prends-tu ? J'suis pas une mauviette comme cette pauv' Mariré, moi ! […] On n'obtient rien de moi avec des m'naces. J'ai peur de rien ni d'personne. J'en ai vu d'autres, et des plus durs que toi, et ils m'ont pas fait trembler… – (mauviette)
  • Pour qui m'prends-tu ? J'suis pas une mauviette comme cette pauv' Mariré, moi ! […] On n'obtient rien de moi avec des m'naces. J'ai peur de rien ni d'personne. J'en ai vu d'autres, et des plus durs que toi, et ils m'ont pas fait trembler… – (en avoir vu d'autres)
  • N'était-ce pas rageant de se voir plaqué par sa femme dans des conditions aussi malpropres ? – (rageant)
  • N'était-ce pas rageant de se voir plaqué par sa femme dans des conditions aussi malpropres ? – (être plaqué)
  • Ah ! celui-là, par exemple, s'il tombait sous sa patte, il passerait un foutu quart d'heure. – (tomber sous la patte)
  • Ah ! celui-là, par exemple, s'il tombait sous sa patte, il passerait un foutu quart d'heure. – (foutu X)
  • Ah ! celui-là, par exemple, s'il tombait sous sa patte, il passerait un foutu quart d'heure. – (passer un sale quart d'heure)
  • Tes propositions, elle les connaît. Ça consiste à retouner rue d'Lappe ou rue d'Chateaudun ! –Eh ben, non, Georgette, t'es dans l'erreur complète. […] J'veux plus qu'elle turbine, justement ! Al' rest'ra à la maison ; al' aura rien à foutre ! – (turbiner)
  • Dame ! À moinsqu't'aies fait un héritage ! Où prendras-tu l'plâtre pour nourrir une femme à rien faire ? – (plâtre)
  • expliqua, en se rengorgeant, qu'il n'avait pas parlé à la légère – (50464)
  • Tu vas pas t'lancer dans l'espionnage ? s'inquiéta Georgette. –Pas si bête ! C'est trop dang'reux… – (pas si bête)
  • son boulot était sérieux, ultra-sérieux. La chasse aux maquisards, l'épuration des gaullistes, des juifs, des communistes. – (maquisard)
  • On joue sur le v'lours – et on est bien payé. Et on peut en profiter pour faire, en douce, quèques bons fric-fracs... – (jouer sur le velours)
  • On joue sur le v'lours – et on est bien payé. Et on peut en profiter pour faire, en douce, quèques bons fric-fracs… – (fric-frac)
  • On joue sur le v'lours – et on est bien payé. Et on peut en profiter pour faire, en douce, quèques bons fric-fracs… – (quéque)
  • C'était pas bien de sa part, pas bien du tout, mais il ne voulait pas revenir là-dessus. Il passait l'éponge – (passer l'éponge)
  • D'autre part, comme son vieux miché s'était fait escoffier, elle allait se retrouver sans situation et sans ressources. – (escoffier)
  • Il ne serait pas sévère pour elle. Elle pourrait faire à sa tête. Du reste, il ne serait pas toujours sur son dos, étant donné qu'il allait être obligé de voyager pour son boulot – (être / avoir sur le dos)
  • Il ne serait pas sévère pour elle. Elle pourrait faire à sa tête. Du reste, il ne serait pas toujours sur son dos, étant donné qu'il allait être obligé de voyager pour son boulot – (faire à sa tête)
  • En tout cas, la Rousse est sur les dents ! – (rousse)
  • Qu'y s'habillent en peintres, en borgeois ou même en mecquetons, on les repère toujours à cinquante mètres. – (borgeois)
  • Qu'y s'habillent en peintres, en borgeois ou même en mecquetons, on les repère toujours à cinquante mètres. – (mecton)
  • Tout le monde se marrait hier, à voir la gueule de cet' bourrique, qui s'croyait fortiche en bavassant avec les clients, essayant de leur tirer les vers du nez. – (bourrique)
  • Tout le monde se marrait hier, à voir la gueule de cet' bourrique, qui s'croyait fortiche en bavassant avec les clients, essayant de leur tirer les vers du nez. – (tirer les vers du nez)
  • Tout le monde se marrait hier, à voir la gueule de cet' bourrique, qui s'croyait fortiche en bavassant avec les clients, essayant de leur tirer les vers du nez. – (bavasser)
  • Si j'les envoyais chier, y s'vengeraient en l'faisant un tas de vacheries. – (envoyer chier)
  • Si j'les envoyais chier, y s'vengeraient en l'faisant un tas de vacheries. – (des tas)
  • À présent, y croient que j'suis rangée et s'imaginent que j'travaille avec eux, et pour eux. – (rangé)
  • Y croient se servir de moi, mais c'est nous qui les bais'rons. – (baiser)
  • Oui, mon vieux Constant, c'est long, et c'est même barbe ! – (la barbe !)
  • Quelle bande d'abrutis ! fit-il en désignant des miliciens entassés sur les banquettes. – (bande de X)
  • Ces types n'avaient rien dans le ventre […]. Au premier coup de mitraillette, ils allaient sûrement se débiner comme des lapins, ou ils chieraient dans leur froc. – (avoir dans le ventre)
  • Ces types n'avaient rien dans le ventre […]. Au premier coup de mitraillette, ils allaient sûrement se débiner comme des lapins, ou ils chieraient dans leur froc. – (se sauver comme des lapins)
  • Ces types n'avaient rien dans le ventre […]. Au premier coup de mitraillette, ils allaient sûrement se débiner comme des lapins, ou ils chieraient dans leur froc. – (chier dans son froc)
  • et se faisaient miliciens parce qu'ils n'avaient même plus un croque dans leur fouille – (croc)
  • Benito était convaincu que La Poigne et lui feraient plus de boulot à eux deux que vingt miliciens réunis. – (boulot)
  • Y [les Juifs] sont p'têt' un peu grippe-sous, c'est vrai et y a pas mal de grossium chez eux, mais y sont pas les seuls à s'bourrer, dans la société. – (se bourrer)
  • Y [les Juifs] sont p'têt' un peu grippe-sous, c'est vrai et y a pas mal de grossium chez eux, mais y sont pas les seuls à s'bourrer, dans la société. – (grossium)
  • Y [les Juifs] sont p'têt' un peu grippe-sous, c'est vrai et y a pas mal de grossium chez eux, mais y sont pas les seuls à s'bourrer, dans la société. – (grippe-sous)
  • Y en a bien d'autres, ah ! merde alors, des grippe-sous et des plus salauds encore, prêts à tous les vacheries pour estamper le trêpe. – (estamper)
  • Y en a bien d'autres, ah ! merde alors, des grippe-sous et des plus salauds encore, prêts à tous les vacheries pour estamper le trêpe. – (trêpe)
  • J'les écoute quèquefois. Y me font marrer, tellement ils ont la caisse bourrée. Y répètent tous les bobards qu'on leur a appris, com' des perruches. – (avoir la caisse bourrée)
  • J'les écoute quèquefois. Y me font marrer, tellement ils ont la caisse bourrée. Y répètent tous les bobards qu'on leur a appris, com' des perruches. – (quéque)
  • J'les écoute quèquefois. Y me font marrer, tellement ils ont la caisse bourrée. Y répètent tous les bobards qu'on leur a appris, com' des perruches. – (répéter comme une perruche)
  • Les Juifs par-ci, les Youpins par-là. Les circoncis, les bites coupées, les blairs crochus et j'te dis pas tout. – (68952)
  • Les Juifs par-ci, les Youpins par-là. Les circoncis, les bites coupées, les blairs crochus et j'te dis pas tout. – (68953)
  • Y s'tordent comme des cornichons en rabâchant toujours les mêmes conneries. – (rabâcher)
  • Si de Gaulle v'nait à gagner (sait-on jamais ?), tu les entendrais gueuler « Vive de Gaulle ! » comme des oies. – (gueuler comme des oies)
  • C'est normal, que tu m'diras, d'aller là où y a d'l'aubert. – (auber)
  • j'ai b'soin d'un alibi, en quelque sorte, pour m'faire oublier à Pantruche. – (Pantruche)
  • j'ai b'soin d'un alibi, en quelque sorte, pour m'faire oublier à Pantruche. – (se faire oublier)
  • Il finirait par croire qu'il en était amoureux pour de bon et qu'il sombrait dans le sentiment, « comme un collégien ». – (pour de bon)
  • Il finirait par croire qu'il en était amoureux pour de bon et qu'il sombrait dans le sentiment, « comme un collégien ». – (comme un collégien)
  • C'était mauvais de se monter le bourrichon pour une souris, si mignonne fût-elle. – (se monter le bourrichon)
  • C'était mauvais de se monter le bourrichon pour une souris, si mignonne fût-elle. – (souris)
  • C'était mauvais de se monter le bourrichon pour une souris, si mignonne fût-elle. –Combien de copains ont fait des gaffes pour des gonzesses ? Combien sont allés au bagne même ? – (gaffe)
  • J'l'ai vexé un peu, le frère. Mais y fallait ça. Y a même longtemps qu'ça m'démangeait la langue. – (la langue me démange)
  • Ah ! les vaches, ils le font exprès… Nom de Dieu de nom de Dieu ! – (nom de Dieu !)
  • Ces cons-là ne se sont p't'être même pas aperçu que j'étais tombé au dur ! – (tomber au dur)
  • Oui, j'y étais. Aussi vrai qu'tu donnais l'bras bien gentiment à la jolie Mariré ! – (aussi vrai que je suis là)
  • à cinq cents kilomètres de la place Pigalle, théâtre habituel de ses opérations, le dénommé Benito, homme du Milieu. – (milieu)
  • se foutait des Vert de Gris et de Pétain autant que des Gaullistes ou des Youdis. – (vert-de-gris)
  • se foutait des Vert de Gris et de Pétain autant que des Gaullistes ou des Youdis. – (youdi)
  • Ai-je été assez con, assez âne ! – (âne)
  • pour venir m'emmerder dans un bled perdu, où j'ai failli laisser ma carcasse ! – (laisser sa carcasse)
  • T'es dans l'maquis alors ? Tu marches avec les Gaullistes ? – (marcher avec)
  • Aller se battre, risquer sa peau, sans y être forcé et sans toucher la moindre braise, ça frisait l'aberration. – (braise)
  • Aller se battre, risquer sa peau, sans y être forcé et sans toucher la moindre braise, ça frisait l'aberration. – (9073)
  • Si les Miliciens le dégoûtaient, c'est parce que c'était des pleutres qui se gargarisaient avec les bobards de la propagande. – (s'en gargariser)
  • Mais de là à travailler à l'oeil, macache ! – (macache)
  • Mais de là à travailler à l'oeil, macache ! – (oeil)
  • Il avait bien remarqué, depuis longtemps, que Fleur de Poisse n'avait pas tout à fait la mentalité affranchie… – (affranchi)
  • Il avait bien remarqué, depuis longtemps, que Fleur de Poisse n'avait pas tout à fait la mentalité affranchie... Ça ne m'étonne plus ! pensa-t-il. Avec des idées « aussi baroques et ronflantes », il était pas dans son milieu. – (53321)
  • Il avait bien remarqué, depuis longtemps, que Fleur de Poisse n'avait pas tout à fait la mentalité affranchie… Ça ne m'étonne plus ! pensa-t-il. Avec des idées « aussi baroques et ronflantes », il était pas dans son milieu. – (ronflant)
  • En somme, il était aussi con, aussi poire que les Miliciens à Pétain, mais dans l'autre camp. – (poire)
  • il ne voulait pas, lui, crever lâchement parmi les pauvres et s'esquinter pour un patron. – (esquinter)
  • Alors ? tu n'me livres pas, la Fleur ? Ça, c'est chouette de ta part. Tu es un vrai pote, un aminche. – (aminche)
  • Si je te croyais dangereux, vois-tu, je te brûlerais la gueule carrément et tout de suite, mais je ne te livrerai pas. – (brûler la gueule)
  • J'ai pas ruminé si loin. J'ai cru com' tout le monde qu'c'était Vichy qui représentait la France. – (17449)
  • « Pétain, c'est la France, et la France, c'est Pétain ! » C'est un cardinal qui a dit ça, mon pote, c'est pas une merde ! –Oui, je sais, c'est Gerlier. – (merde)
  • qu'est-ce que tu veux qu'j'y comprenne, moi qui m'ai jamais occupé de politique ? Et puis j'te dirai que j'm'en tamponne le coquillard, d'la politique. J'suis venu parce qu'on m'a dit qu'il y aurait moyen de faire du flouze. – (s'en tamponner le coquillard)
  • qu'est-ce que tu veux qu'j'y comprenne, moi qui m'ai jamais occupé de politique ? Et puis j'te dirai que j'm'en tamponne le coquillard, d'la politique. J'suis venu parce qu'on m'a dit qu'il y aurait moyen de faire du flouze. – (flouse)
  • Tu feras bien d'faire attention, car il est décidé à te zigouiller… –Il fera bien de ne pas me manquer, car moi je ne le raterai pas. – (ne pas rater qqun)
  • Tu feras bien d'faire attention, car il est décidé à te zigouiller… –Il fera bien de ne pas me manquer, car moi je ne le raterai pas. Je serai moins coulant pour lui que je ne l'ai été ce soir pour toi. – (coulant)
  • En tout cas, j'peux te dire […] qu't'auras pas à faire à un ingrat. Tu m'sauves la vie. Je n'l'oublierai pas. À charge de r'vanche, com' on dit. Qui sait jamais ?Si t'as un jour b'soin, p'tit gas, rien qu'un signe et j'rappliquerai. – (à charge de revanche)
  • En tout cas, j'peux te dire […] qu't'auras pas à faire à un ingrat. Tu m'sauves la vie. Je n'l'oublierai pas. À charge de r'vanche, com' on dit. Qui sait jamais ? Si t'as un jour b'soin, p'tit gas, rien qu'un signe et j'rappliquerai. – (rappliquer)
  • Il lui demandait de ne pas retourner servir les Boches, ni leurs larbins : les collaborateurs. – (larbin)
  • Oui, j'te l'promets ! fit Benito, en levant la main et en crachant solennellement par terre. C'est juré ! – (cracher)
  • Si j'ai la veine de me sortir de la merde où La Poigne m'a enfoncé, ça s'ra pas pour y r'venir, foutre non ! – (merde)
  • Tu peux pas t'figurer com' y sont cons, tous ces Miliciens ! – (24346)
  • Tu peux pas t'figurer com' y sont cons, tous ces Miliciens ! – (11256)
  • et lui expliqua que le train qui venait de passer, et dont il était si dangereusement dégringolé, était en somme un faux train, équipé pour égarer les maquisards, dont on craignait une attaque. – (dégringolé)
  • avant d'arriver à un patelin qui s'appelle Souviac, ou Souffignac, un nom de ce genre-là. – (68957)
  • assez rich'ment entretenue par M. du Thillay, quel intérêt pouvait-elle avoir à l'faire disparaître ? Au contraire ! C'était tuer la poule aux oeufs d'or... – (tuer la poule aux oeufs d'or)
  • Mais son vrai nom... Attendez... C'est peut-être Meunier... ou Bonnier... Un nom dans c'genre-là. – (68957)
  • Cette Georgette ne serait-elle pas la personne qu'il lui avait précisément demandé de convoquer ? […] Elle paraissait être l'amie intime de cette femme. Comme on se retrouvait ! Tous ces gens-là étaient donc de la même bande ? – (comme on se retrouve !)
  • Et pourtant, elle était innocente. Il en mettrait sa main au feu, car il la connaissait bien sa soeur, lui. – (mettre sa main au feu)
  • ils cherchent à l'accabler, à l'enfoncer, à le confondre par tous les moyens. – (enfoncer)
  • Quand la Secrète était venue, le matin, eh bien, Célestin était encore au lit. – (Secrète)
  • Depuis que les jours avaient « allongé », elle se risquait à suivre le bord de l'eau, et s'attardait à lire un roman, tout en rêvant. – (68959)
  • Elle eut tôt fait de boucler sa valise et de régler sa note – (boucler sa valise)
  • la Conciergerie, où elle avait elle-même passé deux nuits, une fois, à la suite d'une rafle, au temps maudit où elle faisait le trottoir. – (faire le trottoir)
  • Elle avait conservé un souvenir horrifié de cette mésaventure, de ces policiers, de ces gardiens grossiers et insolents, de cette nourriture répugnante, de cette tinette malodorante. – (tinette)
  • Ton Cri-Cri me dégoûtait, d'autant plus que ce cagot vicieux marchait à fond pour les Boches et pour Pétain. – (marcher)
  • Non ! mille fois non ! – (68962)
  • Je l'sais bien. Tu n'as pas besoin d'te défendre à mes yeux. J'sais bien que t'es innocent, mon gosse [son amant]… – (gosse)
  • Michel avait ouvert le corsage de la bien-aimée et sa main gourmande palpait les fruits merveilleux d'une gorge impeccable. Il avait sorti l'un des seins de sa prison soyeuse et le caressait passionnément. – (fruits)
  • Michel avait ouvert le corsage de la bien-aimée et sa main gourmande palpait les fruits merveilleux d'une gorge impeccable. Il avait sorti l'un des seins de sa prison soyeuse et le caressait passionnément. – (prison soyeuse)
  • Jusqu'alors, elle avait eu des béguins. Elle s'était laissée prendre au charme de quelque danseur musclé, ou de quelque beau parleur. Comme c'était loin du véritable Amour ! – (béguin)
  • Jusqu'alors, elle avait eu des béguins. Elle s'était laissée prendre au charme de quelque danseur musclé, ou de quelque beau parleur. Comme c'était loin du véritable Amour ! – (beau parleur)
  • Il est chef, m'a-t-il dit, d'un groupe de choc, c'qui lui rapporte de quinze à vingt billets par mois. – (billet)
  • elle n'avait pas voulu le recevoir trop brutalement, pour ne pas le pousser à bout. – (pousser à bout)
  • Les voyages étaient devenus crevants et pour sa part, depuis son retour de l'Exode, elle y avait renoncé. – (crevant)
  • Morphinomane enragée, elle se gardait bien d'indiquer qu'elle avait, ces jours-là, multiplié les piqûres. – (37416)
  • Probable, néanmoins, que s'il avait descendu du Thillay, ça n'était pas sans motif ? – (37134)
  • Mais peut-on être jaloux d'un vieux, surtout quand il « les lâche » ? – (les lâcher)
  • il s'était hâté de rentrer chez lui, espérant y trouver son amie Suzy. Mais elle avait « décarré » – déménageant tout. – (décarrer)
  • Il faisait bien le mariolle, quand on lui parlait d'amour. Mais on a beau crâner, poser au type fort et peu sensible, on a son point faible… – (mariole)
  • Il faisait bien le mariolle, quand on lui parlait d'amour. Mais on a beau crâner, poser au type fort et peu sensible, on a son point faible… – (crâner)
  • Il faisait bien le mariolle, quand on lui parlait d'amour. Mais on a beau crâner, poser au type fort et peu sensible, on a son point faible... – (poser)
  • un homme d'une trentaine d'années, maigre à faire peur, entra dans le bar – (à faire peur)
  • Merde ! T'es pas clamsé ?! – (clamsé)
  • Le nouveau venu était un de ses bons potes, mi-camelot, mi-poisse, un malchanceux, de santé délabrée, qui lui était tout dévoué. – (poisse)
  • Les femmes, vois-tu, c'est… toutes des vaches. Des vaches, j'te le dis… – (vache)
  • Elle m'a tout emporté, la garce. J'ai même pas retrouvé mes affaires, mes complets, mes godasses, rien. Qu'en a-t-elle fait ? La piaule est vide, complètement vide. J'en ai bavé. – (en baver)
  • J'sais pas où qu'elle est. Mais j'sais avec qui elle est… Benito s'impatientait. –Alors ? Quoi ? Accouche ! – (accoucher)
  • Benito devint violacé. Son indignation fut si grande qu'il ne parvint à articuler, très péniblement, que de brèves injures : Fumier ! traître ! salaud ! Enfin, serrant les poings, il se reprit un peu. – (serrer les poings)
  • Ça m'étonne plus qu'y soit rappliqué à Paname dès qu'y m'a cru claboté. – (rappliquer)
  • Ça m'étonne plus qu'y soit rappliqué à Paname dès qu'y m'a cru claboté. – (claboté)
  • Ça m'étonne plus qu'y soit rappliqué à Paname dès qu'y m'a cru claboté. Y n'voulait pas perdre de temps pour m'soulever ma femme. – (soulever)
  • Faut croire qu'elle était d'mêche et qu'ça s'tramait d'puis longtemps. – (être de mèche)
  • V'là des mois, en effet, qu'il lui [une femme] caval' après ! – (cavaler)
  • Et ce voyage ferait dérivatif à sa fureur, autant qu'à son ennui. Depuis sa dernière aventure, il était désemparé et ne savait quoi faire de sa peau. – (ne pas savoir quoi faire de sa peau)
  • Y n'a pas agi en copain avec moi, hein ? T'es d'accord ? C'est une vraie saloperie, c'gas-là ! – (saloperie)
  • j'ai droit à des représailles et j'vas monter dans sa turne, pour me récupérer un peu. C'est régulier, s'pas ? – (se récupérer)
  • j'ai droit à des représailles et j'vas monter dans sa turne, pour me récupérer un peu. C'est régulier, s'pas ? – (je vas)
  • j'ai droit à des représailles et j'vas monter dans sa turne, pour me récupérer un peu. C'est régulier, s'pas ? – (pas ?)
  • j'ai droit à des représailles et j'vas monter dans sa turne, pour me récupérer un peu. C'est régulier, s'pas ? – (régulier)
  • De telles représailles étaient de bonne guerre et La Poigne les avait largement justifiées par sa manière d'agir. – (de bonne guerre)
  • J'sais bien qu't'as pas besoin de bibi… T'es autrement à la redresse que moi ! Mais ça fout rien ; dans ces trucs-là, c'est toujours bon d'avoir un aminche. – (bibi)
  • J'sais bien qu't'as pas besoin de bibi… T'es autrement à la redresse que moi ! Mais ça fout rien ; dans ces trucs-là, c'est toujours bon d'avoir un aminche. – (à la redresse)
  • On f'ra ça à la tombée de la nuit. C'est un boulot de gosse. Et d'main matin, en route pour l'pays des truffes ! – (boulot de gosse)
  • T'en fais pas ! T'es trop bileux ! répondait Jeannot en étirant ses membres. – (bileux)
  • T'en fais pas, j'te dis. On les aura ! Et bientôt va ! – (on les aura !)
  • T'en fais pas, j'te dis. On les aura ! Et bientôt va ! – (va !)
  • J'ai eu toutes les peines du monde à lui échapper. – (68967)
  • Vous n'allez pas faire les andouilles, hein ? Ça n'vous servirait à rien du tout. J'ai mon équipe à cent mètres d'ici. Cinquante hommes d'attaque et armés jusqu'aux dents et qui rappliqueront dare dare au premier coup de feu – (andouille)
  • Vous n'allez pas faire les andouilles, hein ? Ça n'vous servirait à rien du tout. J'ai mon équipe à cent mètres d'ici. Cinquante hommes d'attaque et armés jusqu'aux dents et qui rappliqueront dare dare au premier coup de feu – (dare-dare)
  • Vous n'allez pas faire les andouilles, hein ? Ça n'vous servirait à rien du tout. J'ai mon équipe à cent mètres d'ici. Cinquante hommes d'attaque et armés jusqu'aux dents et qui rappliqueront dare dare au premier coup de feu – (armé jusqu'aux dents)
  • Vous n'allez pas faire les andouilles, hein ? Ça n'vous servirait à rien du tout. J'ai mon équipe à cent mètres d'ici. Cinquante hommes d'attaque et armés jusqu'aux dents et qui rappliqueront dare dare au premier coup de feu – (d'attaque)
  • J'ai mon équipe à cent mètres d'ici. Cinquante hommes d'attaque et armés jusqu'aux dents et qui rappliqueront dare dare au premier coup de feu qu'ils auront entendu. C'est convenu avec eux. Vous serez anéantis en cinq sec. Inutile donc de crâner. – (en cinq sec)
  • J'ai mon équipe à cent mètres d'ici. Cinquante hommes d'attaque et armés jusqu'aux dents et qui rappliqueront dare dare au premier coup de feu qu'ils auront entendu. C'est convenu avec eux. Vous serez anéantis en cinq sec. Inutile donc de crâner. – (crâner)
  • pour m'venger j'suis allé cambrioler sa taule – (cambrioler)
  • pour m'venger j'suis allé cambrioler sa taule, avec l'Grand Julot, et c'est là qu'j'ai trouvé un paquet de papiers et d'babillardes qui m'ont appris la vérité. – (babillarde)
  • l'Grand Julot, qu'est franc comme l'or et solide malgré tout. – (franc comme l'or)
  • C'était un' mauviette, un' poupée, vous vous rappelez ? À présent, y n'a peur de rien. – (mauviette)
  • C'était un' mauviette, un' poupée, vous vous rappelez ? À présent, y n'a peur de rien. C'est un p'tit lion. – (67075)
  • Tous les autres partirent immédiatement, afin de participer à l'action qui se préparait – et qui promettait d'être chaude. – (chaud)
  • Mariré, blanche comme une morte, le soutenait, agenouillée auprès de lui – (blanc comme un mort)
  • ça fait d'fameux froussards et d'beaux lâches. […] Y s'sont trottés com' des lapins, com' des chieurs, des emmanchés. J'n'en croyais pas mes châsses ! – (chieur)
  • ça fait d'fameux froussards et d'beaux lâches. […] Y s'sont trottés com' des lapins, com' des chieurs, des emmanchés. J'n'en croyais pas mes châsses ! – (ne pas en croire ses châsses)
  • ça fait d'fameux froussards et d'beaux lâches. […] Y s'sont trottés com' des lapins, com' des chieurs, des emmanchés. J'n'en croyais pas mes châsses ! – (emmanché)

<378 citation(s)>