*deux (ça fait -) loc. phrast. non conv. ÊTRE - L, ø d ; TLF, cit. Prévert, 1946 ; R, GLLF, Lex.[75], PR[77], DELF, ø d. • c'est deux - TLF, cit. Hugo, 1862 ; L, ø d.
- 1785 - «LE MAGISTER. Oh ! ben ce Jardinier-là, et moi, c'est deux !» Guillemain, Annette et Basile, 20 (Petite bibl. des théâtres) - P.E.
- deux (ça fait -) loc. phrast. non conv. ÊTRE - L, ø d ; TLF, cit. Prévert, 1946 ; R, GLLF, Lex.[75], PR[77], DELF, ø d.
- 1792 - «[...] vous qui avez de l'esprit (car sacredieu, une bête et puis vous, ça fait deux) [...]» [Le Père Duchêne de la rue Pavée], Le Père Duchêne à la toilette de madame Veto, 5 - P.E.
- 1798 - «CADET. [...] Ma femme et le Poitou, ça fait deux.» Aude, L'Ecole tragique, 36 (Barba) - P.E.
- 1807 - «RAMPONNEAU. Tout doux, M. la Tulipe. LA TULIPE. Laissez donc, la Tulipe et la douceur, ça fait deux.» Francis, Désaugiers, Moreau, Taconnet chez Ramponneau, 15 (Barba) - P.E.
- 1856 - «JANVIER. Oh ! la colère et moi ... ça fait deusse !» Brisebarre et Boisselot, Madame J'Ordonne et Cie, 2a (Typographie Morris) - P.E. (bhvf:deux)