ma vieille
(1844) #nom fém.
Appellatif très fam. (amicalement ou non) à homme
Annonce amicale : 30 jours pour jacter comme mézigue, de Sylvain Vanderesse, est paru.
Mots croisés et autres jeux à gogo.
Aux éditions de l'Opportun.
(1844) #nom fém.
Appellatif très fam. (amicalement ou non) à homme
1870
C'est rien toc (5), ma vieille, pour chacun vingt ronds (6), nous avons vu Ida, la femme à la bouteille, ça passait comme une lettre à la poste ; c'est rudement rigolo, nous n'avions pas encore vu ça. [(5) Drôle. (6) Vingt sous.] source : 1870. Le sublime ou le travailleur comme il est en 1870, et ce qu'il peut être
1871
Et tu crois que tu vas t'en aller tranquillement, comme ça, ma vieille [il s'adresse à Jules Ferry], sans qu'on te demande si tu as payé ta consommation ! Halte-là ! à la glace, mon petit ! source : 1871. Le Père Duchêne (2)
1871
Les ruraux se sont foutus dans une sacrée rage, Et, nom de nom ! nos bougres ont écopé ! Attrape ça, ma vieille ! source : 1871. Le Père Duchêne (55)
1914
M. Bob demeurait perplexe. L'autre proposa, joyeux : « Faut y aller, ma vieille ! –Y aller ?… Et puis quoi encore ?… Lui demander la main de sa fille, au mec ?… Tu rigoles, La Loche ?… Et si c'est un mouchard ? » source : 1914. Passagers de choix, dans Racaille et parias
1914
« Encore une que bibi va s'envoyer, ma vieille ! –Kerlof ? –Elle-même… et ça ne traînera pas ! » source : 1914. Le souffleur, dans Racaille et parias
1935
–Bonjour, Thévenin, bonjour, ma vieille ! L'incomparable Robert est venu te saluer ! Tu es l'ami de Jojo, l'ami de Chouard, donc tu es mon ami, car les amis de mes amis sont mes amis, comme dit un proverbe arabe, à moins qu'il ne soit chinois. source : 1935. Viande à brûler
1866
SAINT-HIPPOLYTE. Ce cher vicomte ! CHATEAU-VERT. Ce cher marquis ! (Ils se donnent la main.) SAINT-HIPPOLYTE. Ça va, ma vieille ? CHATEAU-VERT. Ça boulote. NINA, à Marthe. Inconnu au bataillon… encore celui-là, ma chère. source : 1866. Les précieuses du jour
1866
CHATEAU-VERT. Oh ! une idée !… si nous faisions une fine partie ? SAINT-HIPPOLYTE. Ça y est, ma vieille, ça y est ! Garçon ! garçon !… Boumm ! source : 1866. Les précieuses du jour
1870
Si un sublime tient le journal, un autre l'interpelle. –Qu'est-ce qu'elle dit ta gazette ? –Écoute-ça, ma vieille : […] source : 1870. Le sublime ou le travailleur comme il est en 1870, et ce qu'il peut être
1870
deux individus entrent : –Comment ça va, F.....n. –Pas mal, ma vieille, et toi quéque tu fais donc maintenant, voilà un siècle qu'on ne t'a pas vu ; c'est un effet de mirage de voir ta binette. source : 1870. Le sublime ou le travailleur comme il est en 1870, et ce qu'il peut être
1876
–Tope là, ma vieille, lui dit-il en affectant de le traiter comme s'ils étaient deux anciens camarades travaillant aux mêmes pièces, dans le même atelier source : 1876. Jack
1953
–C'est toi qui remplaces l'infirmier ? –Oui, pour te servir, ma vieille. source : 1953. Quartier des fauves
1953
–Et toi [à h.], ferme ta gueule, salope ! lui répond sans s'émouvoir Bernard. Ton tour viendra, ma vieille, et nous nous retrouverons tous là-haut ! source : 1953. Quartier des fauves
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1844
◊ D'Ennery et Grangé, Les Bohémiens de Paris, 1843 (Enckell, bhvf) ◊ Larchey 1862 (TLFi)
1844
1865
1866
1870
1871
1871
1876
1877
1914
1914
1935
1953