souffler
(1940) #verbe tr.
Épater, ébahir, étonner
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(1940) #verbe tr.
Épater, ébahir, étonner
1960
Le marbre, les plantes vertes, les appliques de bronze flamboyantes, la soufflent ; de pareils décors, elle les voit plutôt d'ordinaire le mercredi soir sur l'écran du Barbès-Palace source : 1960. Du mouron pour les petits oiseaux
1955
Je crois bien qu'il n'y a que les camions de son entreprise de transports qui ne me sont pas passés dessus. Ça vous souffle, hein ? source : 1955. Des kilomètres de linceul (Les nouveaux mystères de Paris, 2e arrondissement)
1971
Bertrand, le garçon, était jociste, je le trouvais du tonnerre. Claudine, la seconde fille et Sylvie. Je les soufflais par toutes mes histoires, mon baratin, je savais tellement de choses ! source : 1971. Histoire de Michèle
1954
Je vais te dire quelque chose qui va te souffler, Sadovitch. René a triché… il t'a désigné parce qu'il ne t'encaissait pas ! Et toi, bonne cruche, tu as marché !… source : 1954. René la Brème perd la tête
<4 citation(s)>
souffler existe depuis 1940
; c'est la plus ancienne date relevée à notre connaissance.
1940 (GR) /
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