godiller < □ faire godiller >
Se réjouir, être content, frétiller, être en joie, en plaisirs, convoîter une femme ; [baiser] ; bander, être en érection ; □ donner du plaisir (sexuel)
- Vient de l'ancien gaudille. (VIR)
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Se réjouir, être content, frétiller, être en joie, en plaisirs, convoîter une femme ; [baiser] ; bander, être en érection ; □ donner du plaisir (sexuel)
1863
Zut ! je veux aller au persil pour aller au beurre, moi, na ! Je veux, pour une nuit, retrouver les voluptés de ma première jeunesse, tout comme mes pensionnaires [prostituées] !… Je veux qu'on me paie pour me faire godiller, moi ! source : 1862-1863. Les jeux de l'amour et du bazar
1863
DORANTE (Qui, tout en bandant, ne se sent pas encore en état de baiser.) Assez ! assez ! j'en ai plein l'cul de c't'air-là et de ton doigt !… Autre chose, si tu veux me faire godiller pour de bon ; autre chose ! source : 1862-1863. Les jeux de l'amour et du bazar
1863
FLORESTAN (Qui commence à godiller.) –Ne vas pas si vite !… Là… bien… très bien !… Bon… je suis prêt… source : 1863. Un caprice. Vaudeville
1863
LA MARQUISE (Lui caressant le membre avec précaution, de peur de le casser.) […] LE MARQUIS (Qui godille.) source : 1863. Signe d'Argent. Vaudeville en trois actes
<4 citation(s)>
La date de première attestation de godiller n'est pas connue.
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