47224
Formule très familière à f., appellatif familier et paternaliste, appellatif amical (à f.) ; appellatif amical à sa mère
fréquence : 007
1857
1863
1925
1935
1953
1962
1977
1863
Les femmes, c'est si trompeur ! Quand tu auras ma roue de derrière, tu te croiras quitte en te mettant sur le tien et en remuant les fesses pendant trois minutes… J'connais ça, ma p'tite mère ! source : 1862-1863. Les jeux de l'amour et du bazar
1935
Des haricots, qu'on me lâche, et je la ferme. –Pour quelqu'un qui la ferme, vous venez de l'ouvrir pas mal, la petite mère, répondit Chouard. source : 1935. Viande à brûler
1953
J'suis sûr, p'tite mère [il parle à sa mère], que les gens nous prennent pour deux amoureux. Tu crois pas qu'on fait un beau couple, mon p'tit lapin ? –Dis donc pas d'bêtises ! source : 1953. Misère du matin
1925
Je ne suis pas allé au front, moi, Pellegrin, brancardier régimentaire, deux fois blessé ? Non, mais, vous abîmez, la petite mère ! source : 1925. Mon curé chez les pauvres
1857
Eh bien, qu'est-ce ? qu'est-ce ? ma petite mère ? dit-il en s'approchant… Vous avez, à ce qu'on m'a dit, un abcès qui ne veut pas crever ? source : 1857. La femme du peuple, dans L'échelle des femmes
1962
Elle m'en a gribouillé quatre pages de bloc grand modèle, émaillées de petite mère, de Dufour ma grande, de chère et de chérie source : 1962. Bibiche
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