pommé
(1718)
De bonne qualité, réussi, soigné, considérable, fort, étonnant
- par compar. avec le chou, la laitue, qui ont pommé et sont bien développés, bons à manger. (GR)
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(1718) De bonne qualité, réussi, soigné, considérable, fort, étonnant
1952
Tu peux faire le difficile. T'as dû en choisir un pommé, t'as pas pris le moins chou source : 1952. Une fille du tonnerre
1887
Et moi qui croyais à un crime… Voilà ce qu'on appelle faire un pommé chou-blanc source : 1887. Le chiffonnier de Paris - Grand roman dramatique
1887
ne reconnaissant que droits sans devoirs, d'un égoïsme doublé et pommé source : 1887. Le chiffonnier de Paris - Grand roman dramatique
1889
Une fois que la côte de Beaugency est gravie, Servant dit à Chapuzot : –Ouf ! v'là une côté qui est pommée. –J'ai les jambes cassées. –C'est à donner sa démission. source : 1889. Le soldat Chapuzot
1911
Un bon fieu bouffi et rigolboche que je gobais à cause de son genre… De la crème de fripouille, mais, en même temps, quelque chose de chenu et pommé dans sa touche… source : 1911. Le journal à Nénesse
1877
–Ah ! ça, c'est gentil, c'est pommé… ll y a des châlets, une vraie foire. Et de la musique un peu chouette ! Quel balthazar ! source : 1877. L'Assommoir
<6 citation(s)>
pommé existe depuis 1718
; c'est la plus ancienne date relevée à notre connaissance.
●● sottise pommée, AF, 1718 (TLFi)
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