coquin
(1841) #nom
Dénonciateur qui vend à la police, révélateur
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(1841) #nom
Dénonciateur qui vend à la police, révélateur
1846
L'un et l'autre ont été spécialement consacrés, en partie, aux révélateurs ou coquins, ainsi que les appellent les autres détenus. source : 1846. L'intérieur des prisons […], par Un Détenu
1867
Je crois bien qu'on a mangé sur notre orgue (Qu'on nous a dénoncés). On m'a même prévenu que des macarons (des espions) rôdent autour de nous. Ça serait drôle, si parmi les roustures (Individus en rupture de ban) qui viennent pitancher chez nouzailles (Boire et manger chez nous) ; il y avait des coquins. source : 1867. Les Malfaiteurs
1841
Ils disent d'un homme qui les trahit, qui les livre à la justice : C'est un coquin, un coqueur, un gueux, un mangeur, un homme qui a faim, qui mange sur quelqu'un, c'est-à-dire aux dépens de quelqu'un. Toutes ces variantes se lient étroitement entre elles par une commune origine. source : 1841. Les Prisons de Paris, par un ancien détenu
<3 citation(s)>
coquin existe depuis 1841
; c'est la plus ancienne date relevée à notre connaissance.
1841, Joigneaux
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