colle (depuis 1868) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

• 1888 –Tu n'es pas collé, toi ? –Non, je me suis fait changer ma colle de bain en retenue de promenade source : 1888. Césarine
• 1980 non, faut pas s'écraser, faut pas craindre les colles, les coups, faut outrepasser leurs lois source : 1980. Je ne veux plus aller à l'école
• 2008 J'avais beau lui expliquer que j'étais innocente, pour elle, sa fille en colle, c'était impensable. Je devais être sérieuse, taffer en classe et pas de dérapage. source : 2008. Kiffer sa race
• 1914 –Comment ! tu ne sais pas que le Président de la République va me recevoir en audience particulière ? –Ah ! c'est donc ça que l'prof' m'a l'vé ma colle ! –Tu étais puni, vilain sujet ? source : 1914. La grâce de Bichu, dans Racaille et parias
• 1868 Dans les deux écoles [Saint-Cyr et Polytechnique], on appelle mal répondre à une interrogation être collé, et, comme cela entraîne une punition, la punition elle-même prend le nom de colle. source : 1868. Le soldat peint par son langage
• 1964 j'ai retrouvé, aviateur lui aussi, un de mes anciens élèves qui se souvient sans trop d'amertume des colles que je lui infligeais quand j'étais pion… source : 1964. 18 mois perdus ?

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