four < ouvrir un four ; ouvrir son four >
Comparatif usuel de la bouche grande ouverte ; bouche (sans comparatif)
- Argot parisien courant d'avant-guerre. (Dauzat1918voc)
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Comparatif usuel de la bouche grande ouverte ; bouche (sans comparatif)
1955
Et tout de suite il bâilla. Depuis ma dernière visite à la fauverie du Zoo, je n'avais pas admiré de four semblable source : 1955. Fièvre au Marais
1948
Il a ouvert la bouche pour essayer de dire quelque chose, un vrai four source : 1948. Ainsi soit-il
1948
me ramena à hauteur de son groin et engloutit mes lèvres à l'intérieur de sa bouche, aspirant dans le même baiser glouton mon menton et une partie de mon nez. Elle vous absorbait intégralement dans son four source : 1948. Ainsi soit-il
1957
Jeanne ouvrit une bouche de la dimension d'un four source : 1957. Les eaux troubles de Javel
1897
Tu l'as mise au chaud dans ton … ? –Four ! –Tu sais, ma vieille, j'vas te dire une bonne chose… Ouvre l'oeil : ton plomb c'est comme tes poches ; dans le fond y a un … –Trou… –Par ousque la pièce pourrait s'infibuler source : 1897. Bistrouille et Jean Hiroux. Contes du Petit Pioupiou
1955
Elle s'est barrée, en bâillant, sans mettre la main devant son four. source : 1955. Mollo sur la joncaille
1842
Ho, hé, je te médecine (7) de ne plus ouvrir ton four (8), car chaque fois tu nous fais voir palettes (9) que l'on ne peut comparer qu'à celles dont se servent les cureurs d'égouts. // (7) Je te conseille. (8) Ta bouche. (9) Dents. source : 1842. La nuit du chicard au bal masqué
<7 citation(s)>
La date de première attestation de four n'est pas connue.
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