foutant (depuis 1790) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

• 1885 faut avouer que c'était rudement foutant d'être réveillé comme ça, au petit reluit source : 1885. L'aventure de Marius Dauriat - Études d'argot, dans La Chair
• 1918 Mais c'est tout d'même moche, et foutant par-dessus l'marché, d'penser qu'c'est des artiflots d'chez nous qui nous balancent ça dans les reins ! source : 1918. Au seuil des guitounes
• 1911 À moins que tu aies la prétentionniche qu'elle en tienne pour ta frime toquarde… Ça ne serait rien foutant, alors ! source : 1911. Le journal à Nénesse
• 1911 et que vous passez votre temps à écrire… –Ji !… Je m'envoie un peu de parlotte avec Anatole et je maquille du papier… On s'occupe, quoi !… C'est moins foutant que de toiser l'araignée qui vous mailloche le citron, ou de cracher par terre… source : 1911. Le journal à Nénesse
• 1792 Quel pied de nez ils ont eu quand on a rapporté le coquin de décret, qu'ils avoient trouvé le moyen de faire rendre ! […] c'étoit foutant pour eux aussi d'avoir un pas de clerc comme celui là ! source : 1792. Foutre ! il vous convient bien de vouloir nous faire taire
• 1895 Ah, malheur ! on a passé le temps à jaboter et à brailler, et maintenant, tu peux te rentrer, mon vieux ! alle est pas encore là, la Révolution… Nom de Dieu de nom de Dieu, c'est foutant ! source : 1895. En plein faubourg

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