à pattes (depuis 1858) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

• 1910 Maint'nant qu'on fait partie d'la caravane, […] on d'rait rien poch'tées d'se balader à pattes source : 1910. À la conquête du Pôle Nord, dans La bande des Pieds Nickelés (1908-1912)
• 1927 Pourquoi ne nous avoir pas permis de filer librement en bagnole, pendant que les frangins s'envoyaient le chemin à pattes ! source : 1927. China-Town, dans Les Pieds-Nickelés en Amérique (1921-1927)
• 1925 –Il y a des autobus, le métro… –À pattes, vous dis-je source : 1925. Mon curé chez les pauvres
• 1914-1919 ordre de foutre le camp. Encore vingt-cinq kilomètres, toujours à pattes. source : 1914-1919. Les carnets de l'aspirant Laby. Médecin des tranchées
• 1928 Et quand ta carriole se sera débinée, tout à fait, dans le fond du fossé, fait-elle, t'auras plus qu'à te débiner toi-même, à pattes… Plus vite que tu te seras trotté, plus vite qu'on aura le sourire dans la cité… On t'a assez vu… source : 1928. La racaille
• 1914 J'ai pris le train, le bateau, et encore le train… Je viens à pattes, de la gare du Nord… source : 1914. Mauviette, dans Racaille et parias
• 1889 –Et l'omnibus donc ! C'est moi qui paye ! Je vas t'accompagner. Quand t'auras fait ta course, on redescendra ensemble, à pattes. source : 1889. L'assistance
• 1877 De là, on irait gagner la faim dans la plaine Saint-Denis ; on prendrait le chemin de fer et on retournerait à pattes, le long de la grande route. source : 1877. L'Assommoir

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