dormir comme un bienheureux (depuis 1779) – Définition avec Bob, dictionnaire d'argot

• 1954 La preuve c'est qu'il roupillait comme un bienheureux, sans se faire de mousse, sur son lit de camp. source : 1954. Le jaguar ne pardonne pas ! (Pitiless)
• 1845 Le pion, qui avait continué de dormir comme un bienheureux, ne s'était aperçu de rien. source : 1845. Les mystères du collège
• 1845 Raphaël, joyeux comme tout jeune homme qui médite une espièglerie, fait semblant de dormir pendant que ses camarades ronflent comme des bienheureux. source : 1845. Les mystères du collège
• 1944 je ne bouge pas et dors comme un bienheureux, ce qui ne m'était pas arrivé depuis longtemps. source : 1944. Dans les prisons de la milice - Un mois au château des Brosses
• 1953 J'ai donc fait un repas de roi, j'ai pris une carrée pépère près des Invalides et j'ai pioncé comme un bienheureux. source : 1953. Alors, pommadé, tu jactes ?
• 1982 Jean anéanti dormait comme un bienheureux. source : 1982. La vapeur
• 1936 Le soir, nous avons pu nous introduire dans la gare, furtivement, et nous avons pris possession d'un wagon de première classe. Nous dormions comme des bienheureux. Soudain, un grand bruit nous a réveillés. Notre wagon démarrait. source : 1936. Brûleurs de durs

<7 citation(s)>