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définition : coureur

coureur
Chiffonnier qui doit chercher, chiffonnier itinérant (qui n'a pas de places)

coureur & chiffonnier coureur #nom

Chiffonnier qui doit chercher, chiffonnier itinérant (qui n'a pas de places)

↓ fréquence : 007 | registre ancien : 6

Citations
  • 1883 sa vie est assise. Ce n'est plus un coureur. C'est un emplacé source : 1883. Le Tableau de Paris
  • 1883 Comme nous sommes loin du coureur qui couche dans la plaine source : 1883. Le Tableau de Paris
  • 1860 Le chiffonnier qui n'a pas de places est un coureur source : 1860. Le métier du chiffon, dans Paris qui s'en va et Paris qui s'en vient
  • 1885 Ici le peuple, c'est-à-dire la catégorie la plus nombreuse et la plus misérable, est représentée par ce qu'on appelle le piqueur ou coureur source : 1885. La hotte du chiffonnier
  • 1885 Le coureur ou piqueur marche à pied ; il court, ainsi que son nom l'indique, et il pique avec son crochet tout ce qu'il trouve de bon, c'est-à-dire de vendable, dans les tas d'ordures source : 1885. La hotte du chiffonnier
  • 1885 Le coureur chiffonne dans tous les quartiers de Paris. Il n'a pas, comme on le pense généralement, une rue qu'il ait faite sienne et dans laquelle ses camarades ne peuvent pénétrer source : 1885. La hotte du chiffonnier
  • 1885 Le coureur, à la bonne heure, lui, est un vrai chiffonnier, il a le plaisir de lutter contre les difficultés, il s'ingénie pour gagner son pain source : 1885. La hotte du chiffonnier
  • 1928 la lie de cette lie, les chiffonniers coureurs, se dispersent à travers les ruelles plus humbles, les petites rues Savart, Michel-de-Bourges, Jousseaume, Monte-Christo, vers des boîtes de purotins source : 1928. La racaille
  • 1928 Des coureurs viennent vider leurs sacs dans les carrioles, et s'en retournent, en hâte, à la chasse aux poubelles. source : 1928. La racaille
  • 1909 Il y a actuellement à Paris deux espèces de chiffonniers, le coureur et le placier. Le coureur est le type primitif, le type le plus simple source : 1909. Quelques métiers urbains de simple récolte
  • 1868 Ils se les procurent de deux manières [les débris] : les uns vont à domicile prendre les objets qui leur sont réservés par des clients habituels, ce sont les placiers ou sédentaires, dont le gain est d'à peu près 5 francs par jour ; les autres, appelés coureurs, ramassent les épaves sur la voie publique et ne retirent que 3 francs environ de leur pénible labeur. source : 1868. Voleurs & mendiants

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Chronologie et sources

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Entrée relevée dans ces sources (sauf erreur) :

1860 1868 1883 1885 1909 1928 1981

Compléments