mon bon < mon bon ! >
Mot d'amitié, appellatif amical et familier ; emploi exclamatif
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Mot d'amitié, appellatif amical et familier ; emploi exclamatif
1857
Musidora a une belle peau… –Oui, mais quelles quenottes, mon bon !… on dirait les touches d'un piano à huit octaves ! source : 1857. Dictionnaire de la langue bleue ou glossaire franco-parisien
1862
Eh ! c'est ce cher Babylas […] embrasse-moi donc, mon bon, je pensais à toi tout à l'heure. source : 1862. Le dernier crime de Jean Hiroux
1875
Les vits de Marseillais, mon bon ! C'est comme le beaupré d'un navire. Eh couillon ! Que je ne vous plaindrais pas si vous en aviez un entre les fesses, troun de l'air ! source : 1875. À la Feuille de rose, Maison turque
1875
Une fois, mon bon, zavais coucé avec une femme, la malheureuse, ze la fous, ze la bifous, ze la trifous, ze la refous, et quand zai eu fini, à la dizouitième fois, sans débrider, couillon, je m'aperçois qu'elle était morte. Mon vit lui avait percé le vaintre, et le médecin, qui a constaté le décès, a reconnu qu'elle avait été étouffée par mon vit qui lui était entré dans la gorge. source : 1875. À la Feuille de rose, Maison turque
<4 citation(s)>
La date de première attestation de mon bon n'est pas connue.
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