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Avant la capture, il n'y avait rien à écouter, car le citoyen mobilisé gardait bouche cousue. Même dans la déroute, il craignait trop les mouchards et les tribunaux militaires pour oser se soulager par des lamentations ou des imprécations. Dès qu'il eut été pris, et libéré de sa terreur, il vida son sac. [1965]