sauter au cou de qqun comme une médaille & se pendre au coun de qqun comme une vieille médaille #locution
Sauter au cou de qqun (joie, amour, plaisir des retrouvailles) ; se pendre au cou de qqun (embrassade)
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#locution
Sauter au cou de qqun (joie, amour, plaisir des retrouvailles) ; se pendre au cou de qqun (embrassade)
1922
Il me souvient d'une pauvre petite coureuse d'esguillette qui m'enchanta, naguère, de ces deux phrases nées spontanément, au cours de ses propos, et qui ne contenaient pas, à proprement parler un traître mot d'argot. « Il m'avait quitté, il y a huit jours. Puis, voilà-t-il pas que, ce matin, au coin de la rue Montorgueil, il me saute au cou comme une médaille ! » source : 1922. Marmouset ou l'argot tel qu'on le parle
1953
–On s'embrasse aujourd'hui, c'est permis, n'est-ce pas ? Elle se pend à mon cou comme une vieille médaille. Ses babouines s'écrasent sur mes joues. Je ne peux me retenir de détourner la tête sous son haleine de serpillière. source : 1953. Misère du matin
<2 citation(s)>
La date de première attestation de sauter au cou de qqun comme une médaille n'est pas connue.
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