marque-mal < marque mal ; Marque-mal >
■ Se dit de qqun qui a un mauvais aspect, homme d'allures suspectes ; ■ souteneur de prostituée médiocre ; ■ sobriquet (d'écrivain public, faussaire)
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■ Se dit de qqun qui a un mauvais aspect, homme d'allures suspectes ; ■ souteneur de prostituée médiocre ; ■ sobriquet (d'écrivain public, faussaire)
1867
le père Chamouillot, dit Marque-mal, l'écrivain public de la place du Panthéon, qui a fait cinq ans pour faux, y couche deux ou trois fois par semaine fois par semaine source : 1867. Le manuscrit rouge. Mémoires de Poulmann
<1 citation(s)>
La date de première attestation de marque-mal n'est pas connue.
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