cafter & cafeter
Dénoncer, trahir, avouer, révéler qqchose
- Daterait d'une quinzaine d'années au moins chez les écoliers parisiens. Formé sur cafard (réfection de « cafarder ») avec apocope présuffixale de -ard. (Eyot 1947)
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Dénoncer, trahir, avouer, révéler qqchose
1953
jaloux de sa soudaine application, de son aisance inattendue pour piger l'algèbre, les sciences ou la géométrie, quelques élèves le menaçaient souvent de le « cafter » s'il n'acceptait pas de leur offrir en cachette un bonne note supplémentaire source : 1953. Allons z'enfants
1995
Ma mère a certainement déjà tout raconté […]. J'avais raison, ma mère a cafté. source : 1995. Les pieds-bleus
2006
La victime devient le coupable. On lui reproche d'avoir « cafté ». source : 2006. Place Beauvau - La face cachée de la police
2008
Je vais pas cafter à la mater, avec son sens de la diplomatie, elle volerait direct dans les plumes de Linda. source : 2008. Kiffer sa race
<4 citation(s)>
La date de première attestation de cafter n'est pas connue.
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1947
1953
1978
1981
1984
1995
2003
2006
2008
2009