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Moi aussi « j'ai craché » durant l'occupation. Un soir, dans l'unique bistrot d'une commune auvergnate, j'ai discuté durant deux heures, avec un paysan […]. Il venait de jeter une cigarette dont le tiers à peine avait été fumé. J'employais des ruses invraisemblables, tombant mon mouchoir, relaçant mes chaussures, pour « piquer » le clope.