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La grande majorité [des ouvriers] doit donc se croiser les bras, s'endetter et attendre. Or, comme l'attente est proportionnée au chômage, lequel dure annuellement cinq mois, ce sont cinq longs mois à rester les bras croisés, minés par le froid, tiraillés par la faim, maudissant la misère, maudissant les patrons, glissant à une haine mauvaise conseillère