étrillé
Être rossé, battu, subir des violences ; être dépouillé
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Être rossé, battu, subir des violences ; être dépouillé
1846
il ne donna rien au boye ; aussi fut-il étrillé de la bonne façon source : 1846. Les chauffeurs du Nord
1760 (vers)
M. Gaudot […] vient d'être étrillé comme il faut par la demoiselle Parmentier […]. Cette fille, en moins de trois mois, lui a mangé 10.000 livres [02/08/1765] source : 1760 (vers). Paris sous Louis XV - Rapports des inspecteurs de police au roi (deuxième série)
1998
L'une des compagnies de l'autre G.C.P. avait été accrochée par surprise, vers midi, et sérieusement étrillée. Et nous devions nous porter en renfort sans aucun délai. source : 1998. Section Bordel
<3 citation(s)>
La date de première attestation de étrillé n'est pas connue.
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1760
1846
1917
1995
1998