esbrouffé & être esbroufé
Étonné, épaté, supris ; être mystifié, dupé
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Étonné, épaté, supris ; être mystifié, dupé
1969
Il avait été esbroufé, ridiculisé. Il lui faudrait du temps pour retrouver sa superbe, son vernis social. source : 1969. Les louchetracs
1870
« Chaud-là ! en triomphe l'orateur ! C'est-y envoyé ça ! hein, si le gros tourneur qu'est de la Saint-Vincent de Paul était là, serait-il esbrouffé. Comment que tu l'appelles ce lapin-là ? –C'est chose, un des chouettes, qu'a été à Genève, en Belgique. –Quel grelot (1) ! [(1) Les sublimes disent d'un travailleur parlant bien : A-t-il un bon grelot ! ou, quel mirliton ! et encore : Il n'y a pas moyen de lui fermer sa boîte (sa bouche).] source : 1870. Le sublime ou le travailleur comme il est en 1870, et ce qu'il peut être
<2 citation(s)>
La date de première attestation de esbrouffé n'est pas connue.
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