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En y entrant [chez Paul Niquet], chaque habitué déposait le long du mur sa hotte ou son fardeau, pour pénétrer ensuite dans la grande salle, – ancienne cour couverte d'un vitrage, – et ornée de deux comptoirs d'étain, réceptacles de liqueurs diverses, auxquelles la chiffe, en son rustique langage, avait donné l'énergique baptême de casse-poitrine.