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Je suis convoqué par le commissaire, qui, entre parenthèses, se moque comme d'une guigne de savoir que je n'ai pas dormi. J'arrive donc en miettes, pour m'entendre dire : « Monsieur Trotignon, vous avez travaillé n'importe comment cette nuit. » Je réponds : « Je ne comprends pas très bien, je n'ai pas dormi, je suis fatigué. »