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Après le Tour, la saison des vraies compétitions était finie, et ce qui importait pour les coureurs, c'était de prendre de l'argent, faire la fête et s'allumer la tête. C'était le temps du Pervitin et du Tonédron, des amphétamines pures, injectables, rapidement éliminées par l'organisme, qu'ils avaient surnommées Tintin et Tonton.