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Au lieu de m'amarrer court, je laisse deux brasses de mou au filin ; ainsi, je peux me déplacer, éviter quelques embruns. Mais je n'évite pas les plongeons. À intervalles réguliers, il tombe du ciel un mélange réfrigérant, eau, glace et neige. Quand on l'attrape sur le râble, on a l'air fin. Il faut retirer les sabots-bottes et les vider, sinon l'eau y gèlerait et les pieds avec.