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Acré aux Cobaleurs. Les mecs qui en mouillent pour gratter dans le cobalt et qui sont à la coule pour le boisage n'ont qu'à radiner à Koumac ; ils y dégotteront du turbin et seront carinés comme des Autrichiens. Six linvés par jour le premier marquet. Le deuxième marquet : sept linvés pour les battes, ceux qui n'en promettent pas. Affaire avec la camelotte du store. S'adresser sur les lieux, à Koumac, son gnasse ne marche pas pour les passages. (Davillé 1901) | [Acré aux cobaleurs] Les mecs qui en mouillent pour gratter dans le cobalt et qui sont à la coule pour le boisage, n'ont qu'à radiner à Koumac, ils y dégotteront du turbin et seront carmés comme des Autrichiens. Six linvés par jour le premier marquet. Le deuxième marquet sept linvés pour les bates, ceux qui n'en promettent pas. Affure avec la camelote du store. S'adresser sur les lieux à Koumac, son gnase ne marche pas pour les passages. (Carol 1901) |
Acré aux cobaleurs est publié pour la première fois dans la presse locale de la Nouvelle-Calédonie en 1900 ; son attribution à Georges Baudoux est donnée d'après Patrick O'Reilly, « Georges Baudoux, prospecteur et écrivain calédonien ».
Source : GL
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Source : Gall.
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