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Il y avait « La Grande », troquet ainsi nommé parce que la patronne atteignait une taille exceptionnelle. Et puis, tout au bout de la rue de Charolais, à l'angle de la rue Charles-Bossut, un dernier café, tenu par une veuve et ses deux filles. Toutes trois charmantes, elles savaient tenir leur monde à distance tout en plaisantant, ce qui était une jolie performance dans ce milieu un tantinet paillard. Mécanos et chauffeurs avaient gaillardement surnommé ce troquet « Les Six Fesses »…