Bonjour.
J’inverse un peu l’ordre, gardant le premier cas pour le dessert.
Il était effrayé à l'idée qu'il puisse être puni à cause de sa curiosité.
Il était effrayé à l'idée qu'il pourrait être puni à cause de sa curiosité.
Je n'aime pas l'idée qu'un type surgi de nulle part soit premier à ma place.
Je n'aime pas l'idée qu'un type surgi de nulle part serait premier à ma place.
Je n'aime pas l'idée qu'un type surgi de nulle part sera premier à ma place.
Ici s’ajoute la proposition au futur : je pense très sérieusement que cette éventualité a des chances de se réaliser.
Il n'a pas du tout accepté l'idée que tu partes avec sa fille.
Il n'a pas du tout accepté l'idée que tu partirais avec sa fille.
Il n'a pas du tout accepté l'idée que tu partiras avec sa fille.
Il n'a pas du tout accepté l'idée que tu sois parti avec sa fille.
Il n'a pas du tout accepté l'idée que tu es parti avec sa fille.
Il n'a pas du tout accepté l'idée que tu pars avec sa fille.
Cette dernière proposition n’est pas impossible si par exemple tu es déjà dans le train avec sa fille et si moi qui viens de quitter le père je te le raconte présentement sur ton téléphone portable.
L'usage du subjonctif me paraît tout de même nettement plus facile - plus souple - avec l'idée que.
Édité le 27 octobre à 2h55: j'ai oublié dans la troisième phrase la "proposition-supposition" au conditionnel passé et la "proposition-déduction" au futur antérieur, très proches:
Il n'a pas du tout accepté l'idée que tu serais parti avec sa fille.
Il n'a pas du tout accepté l'idée que tu seras parti avec sa fille
a contribué ensuite sous yd