Sujet : l'homme et de son pauvre et terrible amour
Qui, dites-moi qui sauf Camus oserait dire, comme d'ailleurs il avait déjà écrit dans La peste :
(...) il était juste que, de temps en temps au moins, la joie vînt récompenser ceux qui se suffisent de l'homme et de son pauvre et terrible amour.
Je ne sais plus si cela ne soit qu'un aveu impuissant chargé de tout le mépris possible contre la dualité de l'amour mais en même temps je me sens si proche de cette claustration propre que l'idée même d'avoir raison m'ébranle.