Citation n°115586
- extraite de
- 1932. Voyage au bout de la nuit (Seul manuscrit)
- attachée à : 53961
je n'avais pas à me mettre en frais d'imagination, il suffisait de ne pas tarir d'émerveillement.
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je n'avais pas à me mettre en frais d'imagination, il suffisait de ne pas tarir d'émerveillement.