Mais ils sont très bien ces exercices
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Mais ils sont très bien ces exercices
Mais ils sont "tip top" [mes plus plates excuses aux puristes...:rolleyes:] ces exercices ! Je m'étais beaucoup amusée, et aperçue par la même occasion qu'on n'a jamais fini de se remettre en cause !
Visiblement il est bien pauvre l'homme s'il doit faire tous ces exercices.
Et cet autre est aussi très riche en exercices, et bien fait : http://www.ccdmd.qc.ca/fr/franc/accfranc.html
Bonjour (les ?) nanas,
Malgré le « ABC », ce n'est pas le meilleur site pour apprendre les bases de la langue française.
Je vous conseille plutôt celui-ci, plein de bonnes choses.
bjr a tous je suis vraiment désoler mlais j ai une grande attention dapprendre la langue francaise si vous pouvez maider jarrive pas a savoir comment sa marche ici merci
Philippe Beauchemin :
L'expression «terrible amour» n'a pas été inventée par Camus.On la retrouve dans un poème d'Apollinaire.
Mais quel est le sens que Camus lui donne?Larousse , en avions-nous besoin, nous dit que l'amour est un sentiment intense d'attachement.
Nous voilà guère avancés.Ce qui est certain par les mots utilisés , c'est que Camus évoque quelque chose
qui est imparfait:pauvre et terrible évoquent tous deux l'imperfection de l'amour humain.Peut-être.
Méditation sur une citation camusienne.
Exact, TdP, mais je n'ai pas dit qu'il regoignait Camus : il en est strictement contemporain, et c'est ce qui rend ta comparaison particulièrement aiguë. Et je pense qu'on étudiera encore longtemps Camus dans les écoles, alors que Cesbron est tombé en désuétude.
Je maintiens par contre que sa conception de la religion comme génératrice de compassion humaine va à l'encontre d'une certaine vision des religions de nos jours, plutôt porteuses d'intolérance et d'agressivité.
Ceci explique peut-être cela.
Piotra écrit:
(...) très influencée par la religion...
Les références religieuses de Cesbron ne contredisent-elles pas l’humanisme de Camus? Si ce dernier se suffit de l’homme, cela signifie que son humanisme se situe en dehors de toute métaphysique — au contraire de Cesbron, qui ne considère et n’aime l’être humain qu’en tant que créature de Dieu, c’est-à-dire qu’en tant qu’il participe de l’essence divine. Cesbron, c’est donc, sur ce point précis du moins, l’anti-Camus.
Oui, P'tit prof, bien sûr que je connais Cesbron : question de génération sans doute ...
Et même si ses références religieuses paraissent un peu lourdes aujourd'hui, on ne peut nier qu'un retour de ses valeurs ferait la plus grand bien au monde actuel.
P.S. Notons au passage, cher Abruti, le bel oxymore de terrible amour
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